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#311 : Trop beau pour toi

Titre en VO : Abby Mays
1ére diffusion Américaine : 29 Novembre 2005
1ere diffusion française : 22 Mars 2006
Casting : Rebecca Metz (Abby Mays)
Réalisateur : Michael M Robin

Sean découvre par hasard que Quentin et Julia ont un rendez-vous, il se sent alors profondément trahi. Pour lui, il n'y a qu'une seul solution à envisager : Quentin doit impérativement quitter le cabinet. Du côté de Christian, lui semble prendre tout à fait sereinement le départ de Kimber. Mais son comportement indique qu'il ne va pas si bien que cela. Ses proches s'en inquiètent...

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Titre VO
Abby Mays

Titre VF
Trop beau pour toi

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Christian reçoit la lettre de Kimber

Christian reçoit la lettre de Kimber

  

Promo 311

Promo 311

  

Sean / Matt / Julia

Sean / Matt / Julia

  

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L'inspecteur Fishman, anciennement en charge du dossier du Découpeur vient voir Sean et Christian à propos d'actes nazis contre des anciens patients. Cela explique pourquoi le père d'Ariel tenait tant aux dossiers de McNamara/Troy. Sean dit qu'il n'a aucune idée d'où cela vient, et demande combien de temps cela va-t-il prendre pour que la police se mette à chercher Kimber. L'inspecteur lui demande s'il a une raison de suspecter un enlèvement, Christian répond qu'elle est simplement revenue à la raison en le quittant. Une fois l'inspecteur parti, Sean demande à Christian comment il va...Il feint d'être au mieux de sa forme.


Abby Mays vient consulter Christian, visiblement ennuyé. Elle voudrait être belle pour que quelqu'un comme lui puisse l'aimer. Christian se montre tout de suite impoli en lui disant qu'elle ne sera jamais comme Angelina et qu'elle ne trouvera jamais de Brad. Christian lui demande son rouge à lèvres pour faire comme il avait fait à Kimber lorsqu'ils s'étaient rencontrés. Il marque sur le corps d'Abby tous ces défauts, et ils sont nombreux. Christian ne s'arrête que lorsque qu'il n'a plus de rouge à lèvres. Tout le corps d'Abby est rougi, sauf sa tête. Christian lui dit que c'est peine perdue, mais qu'en travaillant suffisamment sur son corps, elle pourrait être "faisable".


Quentin examine le Caporal Oliver Brandt, qui a des éclats de bombes incrustés dans le visage. Sean arrive et demande à Quentin d'arrêter l'examen et de le laisser poursuivre. Quentin est impressionné quand il entend son histoire.
Christian s'occupe de la liposuccion d'Abby Mays. Il commence normalement puis devient de plus en plus violent, faisant bouger la table d'opération et la patiente elle-même. Liz tente d'intervenir mais Christian l'envoie balader. Furieuse, elle quitte la clinique. 


Sean s'occupe de l'opération du Caporal Brandt, pendant que Quentin assiste, furieux lui aussi d'en être réduit à ça. Il provoque Sean pendant toute l'intervention. Quentin finit par lui dire qu'il le hait. Sean lui répond qu'il est impatient que son contrat se termine pour enfin le mettre dehors. La guerre est déclarée entre eux deux.


L'opération terminée, et Brandt réveillé, c'est Quentin qui vient le voir. Il examine d'abord son visage, puis descend sur son torse, puis encore plus bas, sous le prétexte d'examiner ses cicatrices. Brandt l'arrête en lui disant qu'il n'est pas gay. Quentin en doute vu la "bosse" sous son caleçon...


Christian rend visite à Julia au spa. Elle est inquiète pour lui, mais il continue de donner le change. Julia lui conseille de prendre des vacances. Christian lui dit qu'il n'est là que pour le suivi d'une patiente. Il entre dans la chambre d'Abby, trop bavarde pour Christian qui lui dit de la fermer. Abby lui demande tout de même d'où viennent ces bleus sur ces hanches. Elle demande aussi quand est-ce qu'elle pourra sortir avec quelqu'un. Christian lui dit qu'elle n'a qu'à passer chez lui après sa sortie du spa.


Transition brutale et retour à la clinique : Quentin est en train de se faire sodomiser par le Caporal Brandt, sous l'œil choqué de Sean qui assiste par erreur à la scène.


Sean frappe à la porte de Julia. Il veut voir Matt. Julia lui dit qu'il est en train d'étudier avec Ariel. Au moment où Sean s'apprête à ouvrir la porte, Julia l'arrête. Il écoute à la porte et entend Ariel et Matt. Ils ne sont pas vraiment en train d'étudier. Sean est une fois de plus choqué. Il ne comprend pas comment Julia a pu laisser entrer Ariel chez elle. Elle lui répond qu'après ce qu'il s'est passé avec Ava, elle a cru bien faire d'encourager Matt à rester chez Julia, pour qu'elle puisse garder un œil sur eux. Sean hausse le ton en lui parlant des penchants idéologiques d'Ariel, et en enchaînant sur les pratiques de Quentin sur son lieu de travail. Matt sort de sa chambre, dérangé par le bruit et se dispute une fois encore avec Sean. Ariel sort elle aussi, et nie les accusations de Sean pour les croix gammées peintes sur les casiers de certaines lycéens. Sean est furieux et s'en va.
Quentin est de nouveau en train d'examiner Brandt, mais cette fois-ci en compagnie de sa femme.

Sean arrive et retire les instruments des mains de Quentin. Brandt demande à sa femme de les laisser pour éviter que quelqu'un s'emporte et révèle ce qu'il s'est passé entre lui et Quentin. Brandt se retrouve au milieu d'un affrontement verbal entre Quentin et Sean. Sean propose deux choses au Caporal : soit il annonce publiquement que le Dr Costa a abusé de lui : ainsi, Quentin perdra sa licence et donc le droit d'exercer, soit il assume ses choix et prévient l'armée de ce qu'il a fait, auquel cas ce sera lui qui perdra son job.


Quentin rend visite à Julia au spa. Ils vont faire un tour dans le jacuzzi pour se détendre. Julia demande à Quentin si ce qui lui a raconté Sean à son sujet est vrai. Quentin joue l'innocent, ce qui paraît suffire à Julia puisqu'elle termine dans es bras.


Christian reçoit Abby chez lui comme convenu. Il lui dit qu'il a été faire des courses. Elle doit aller voir sur le lit. Mais sur le lit, il n'y a qu'un sac en papier. Si elle veut faire l'amour avec Christian, elle devra mettre ce sac sur sa tête pour qu'il ne voie pas son visage. Une fois Christian "soulagé", Abby, humiliée enlève le sac de sa tête, en pleurant, et s'en va.


Quentin rend une dernière visite à Brandt qui s'apprête à partir. Quentin lui dit qu'il a appelé l'armée pour leur dire que Brandt était homosexuel. Brandt est furieux et plaque Quentin au mur. Quentin sait apparemment très bien se défendre puisqu'en 2 secondes, il met Brandt par terre, puis va voir Sean et Christian qui opèrent. Il leur propose un marché : Quentin accepte de partir immédiatement si Sean et Christian lui rachètent son contrat. Ils acceptent, heureux de pouvoir enfin se débarrasser de lui, jusqu'à ce que Quentin leur annonce qu'il reste sur Miami...et va désormais travailler pour Julia.


Christian se retire dans son bureau. Il a reçu une lettre de Kimber. Elle le remercie pour l'avoir forcée à choisir entre lui et sa carrière. Sa carrière lui a tout donnée, le pouvoir, l'indépendance. Elle ne veut donc plus jamais le revoir, il ne doit pas chercher à la retrouver.

Pendant que Christian lit la lettre, on voit Kimber en train de l'écrire, dans un pièce sombre et sale, agenouillée et encore vêtues de sa robe de mariée. Plus nous nous approchons d'elle plus la scène paraît suspecte. En effet, sa robe est sale et tâchée de sang. Une porte s'ouvre, le Découpeur entre. Kimber relève la tête et fait apparaître ses joues tailladées et ensanglantées. Le Découpeur lui demande la lettre, puis s'approche d'elle, alors qu'elle hurle.


Retour à la clinique. Abby entre dans le bureau de Christian. Elle lui dit qu'elle a réalisé qu'ils étaient presque pareils. Elle est masochiste, et lui est sadique. Il le lui a prouvé en la sodomisant alors qu'elle avait un sac sur la tête. Cela ne la gêne pas de recommencer. Elle lui dit que les larmes qu'il a vues n'étaient pas des larmes de honte, mais de joie, car elle venait d'avoir son premier orgasme. Elle lui laisse le sac en question avec son numéro écrit dessus. Christian ne la regarde même pas. Il lui tourne même le dos. Lorsqu'elle s'en va, après que Christian lui ait de nouveau donné rendez-vous, on voit que Christian est en larmes.

Ecrit par Sophia81

Scène 1 : Ancien bureau de Sean, Salon de consultation.

Inspecteur : Ca a été peint à la bombe sur le casier d'une fille juive de Prépa. Coral Gables. Quelques blocs plus loin, "Rentrez chez vous, têtes de citrons" a été gribouillés sur la porte d'un couple Amérasien.

Sean : C'est terrible, Inspecteur, mais en quoi ça nous concerne ?

Inspecteur : L'adolescente et le mari asiatique étaient des patients à vous …… Donc, aucun de vos dossiers n'a disparu ? Aucun comportement étrange parmi vos employés ou patients ?

Sean : Non... mais on redoublera de vigilance sur les dossiers et on gardera un œil sur quoi que ce soit d'inhabituel.

Inspecteur : Bon, je reviendrai vous voir dans quelques jours. S'il vous vient quoi que ce soit à l'esprit en attendant, passez-moi un coup de fil, s'il vous plaît.

Christian : Ok ……

Sean : Inspecteur. Quelqu'un doit avoir disparu depuis combien de temps pour que vous établissiez un rapport disparition ?

Christian : Elle n'a pas disparu, Sean.

Inspecteur : Avez-vous une raison de suspecter un comportement irrationnel ?

Christian : Non, je suspecte seulement que ma fiancée a repris ses esprits.

Inspecteur : Je n’aurais jamais cru qu'une chose comme ça pourrait arriver à un type comme vous …………………

Sean : Christian, je sais que ça ne fait que quelques jours, mais ne crois-tu pas qu'il te faille envisager chaque scénario possible ? C'est pas comme si...

Christian : Kimber est partie... et je tourne la page, Sean. Je ne suis pas fait pour être marié, ni à elle,

ni à quelqu'un d'autre. Regarde-moi. Je suis un plasticien non domestiqué qui a réussi avec de beaux cheveux, un sourire étincelant, et 83 centimètres de tour de taille. Je suis un putain de super héros. Et je vais remettre ma cape, voler dans chaque bar pour célibataires en ville... et baiser jusqu'à plus soif. On m'attend pour une consultation.

GENERIQUE

Scène 2 : Bureau de Christian

Christian : Dîtes-moi ce que vous n'aimez pas chez vous, Mlle... Mays.

Mlle Mays : Je n'aime pas ressembler à un Clydesdale. Mon visage conviendrait à une muselière, et ces hanches et ces jambes pourraient tirer une charrette de Budweiser …………. C'est là que votre tact professionnel devrait se manifester. Vous devriez dire : "Non, Abby, je pense que vous êtes une femme attirante". Ou au moins une fille charmante ? C'était le mot qu'utilisait mon père pour les laiderons... charmante.

Christian : Pourquoi n'êtes-vous pas un petit peu plus précise quant aux changements que vous recherchez ?

Mlle Mays : Je sais juste que je veux être belle pour pouvoir être aimée par quelqu'un comme vous. Ok, pas exactement vous, je sais que vous êtes inaccessible. Je sais ça. Je vous ai vu dans le magazine Beach Drive. Je sais que vous avez été désigné comme l'un des 50 célibataires les plus convoités de Miami. Mais vous n'êtes plus disponible, pas vrai ? Vous êtes... fiancé ?

Christian : Plus maintenant. Ecoutez, si c'est un petit-ami que vous cherchez, pourquoi n'économisez-vous pas votre argent en essayant les rencontres online ou les petites annonces ? Je suis sûr qu'il y a quelqu'un quelque part qui serait parfait pour vous.

Mlle Mays : Je les ai déjà tous faits, mais rien n'a marché. A la plupart des rendez-vous, le type tourne habituellement les talons et sortent du restaurant une fois qu’il a vu Flasquy Abby ou bien ils sont hideux et c'est moi qui pars.

Christian : Vous savez, les laids sont habituellement les meilleurs amants. Vrais... généreux... pour compenser leurs imperfections.

Mlle Mays : C'est pas parce que je suis laide que je suis attirée par les laids, Dr. Troy. J'achète tous les magazines, je regarde MTV. Je suis aussi affectée par les médias que n'importe qui.

Christian : Chérie, vous ne ressemblerez jamais à Angelina, et vous ne coucherez jamais avec Brad. C'est comme ça. La vie craint pour vous.

Mlle Mays : Vous ne pensez pas que je devrais essayer la chirurgie plastique ?

Christian : Il vous faudra de multiples opérations, et aucune n'est bon marché.

Mlle Mays : J'en ai conscience. Je veux faire tout ce qu'il faut pour être belle.

Christian : Très bien. Donnez-moi votre rouge à lèvres et retirez vos vêtements.

Mlle Mays : C'est vraiment nécessaire ?

Christian : Votre première étape vers une vie de beauté c'est de regarder longuement et froidement la réalité. Alors ouais, je pense que c'est nécessaire. A poil ………………… La beauté c'est la symétrie et vous n'en avez aucune. Je dois d'abord me débarrasser de tout ce fromage blanc répugnant. Et ici il vous faudra une épilation au laser pour garder cette forêt sous contrôle. Il faudra tailler ces garde-boue. Avez-vous déjà soulevé quelque chose de plus lourd qu'un carton de Haagen Dazs ?

Mlle Mays : Ben, je ne fais pas de gym ou autre.

Christian : Evidemment. Votre bide à bière aura besoin d'une lipo abdominale étendue. Et vous pourriez isoler votre maison avec la quantité de graisse que je vais aspirer de vos hanches et de vos fesses ………………….

Mlle Mays : Quelque chose ne va pas ?

Christian : Je suis à court de rouge à lèvres.

Mlle Mays : Et pour mon visage, Dr. Troy ?

Christian : C'est une cause perdue. Mais si je sculpte votre corps avec une lipo tumescente, il pourrait être récupérable.

Mlle Mays : "Récupérable ?"

Christian : Faisable. Baisable. Prêt à être monté à cru. Maintenant remettez vos vêtements. Vous avez l'air d'une carte de l'enfer.

Scène 3 : Ancien bureau de Sean, Salon de consultation.

Quentin : Après avoir retiré le métal incrusté, on peut égaliser la surface de la peau avec une légère micro abrasion dermique.

Sean : Excusez-moi, Dr. Costa. Je vais m'en occuper à partir de maintenant.

Quentin : J'ai pensé prendre de l'avance et commencer. Je ne voulais pas que ce soldat perde son temps.

Sean : Son temps ne sera perdu que si on l'examine deux fois …………….

Soldat : C'est pas un docteur ?

Sean : Si, mais vous méritez d'être examiné par un partenaire, au lieu de l'un de nos simples docteurs associés.

Soldat : Ca semble génial.

Sean : Pouvez-vous me dire comment vous avez eu ces cicatrices d'éclats métalliques, Caporal Brandt ?

Caporal Brandt : Je  dirigeais un convoi d'approvisionnement régulier sur la route Irish. C'est la seule route entre le centre de Bagdad et l'aéroport. On l'appelle la route la plus dangereuse du monde parce qu'il y a des attaques presque chaque jour. Le char que je conduisais s'est pris un coup direct de lance roquette... et ça été l'enfer. Mon équipier a pris une grenade dans la poitrine, et ça l'a réduit en poudre. J'ai vu le mec qui nous l'a lancée à environ 200 mètres sur le toit d'un immeuble. Il dansait. J'ai perdu la boule. Je n'avais pas d'arme sur moi, mais je me suis dirigé droit sur cet immeuble.

Sean : Vous n’aviez pas peur ?

Quentin : J'aurais fait exactement la même chose.

Caporal Brandt : Non, ce n'était pas de la peur. Ca peut sembler terrible, mais... quand vous êtes dans ce genre de situation, et qu'on vous attaque sans aucune raison, c'est la haine qui prend le dessus. Qui vous protège, même.

Sean : Que lui avez-vous fait ?

Caporal Brandt : Il était plus grand que moi, alors au début il m'a tenu à distance, mais je l'ai finalement terrassé... et j'ai enfoncé mes pouces dans ses yeux jusqu'à ce qu'ils soient couverts de sang. Il a commencé à se tortiller bizarrement, alors j'ai pris son lanceur, et je l'ai frappé à la tête avec, encore et encore. J'ai juste continué à lui frapper la tête jusqu'à ce qu'elle soit grande ouverte. Quand j'ai vu l'os, j'ai su qu'il était mort.

Quentin : Quelle terrible expérience.

Caporal Brandt : J'imagine. Je suis en quelque sorte indifférent à tout ça, maintenant. Tout le sang et tout. Vous devez savoir de quoi je parle. Vous gérez du gore tous les jours, pas vrai ?

Quentin : Je ne pense pas que quiconque puisse s'habituer au massacre.        

Sean : Je vois que vous avez une femme... Chloé. Elle doit être contente que vous soyez rentré.

Caporal Brandt : Ouais. Ouais. Je vais même rester un moment. L'armée veut que je recrute pour eux maintenant. J'veux dire, c'est pour ça qu'ils payent la chirurgie esthétique. Alors je vais devoir traîner près des lycées et des centres commerciaux et pousser des gens à s'engager.

Scène 4 : Bloc opératoire, opération de Mlle Mays

Christian : C'est comme au bon vieux temps de t’avoir ici, Liz.

Liz : Ne t’excite pas trop, Christian. Je ne me dévoue aujourd'hui que parce que vous n'auriez pas pu trouver quelqu'un d'autre à la dernière minute.

Christian : Elle est correctement détendue ?

Linda : Oui, docteur.

Christian : Metz ………… Canule …………………………………….

Liz : Christian ! Vas-y mollo ! J'ai donné à cette patiente assez de Propofol pour une liposuccion. Tu n’enlève pas la glace d'un pare brise de voiture.

Christian : La liposuccion tumescente laisse de très petites lésions. Faites juste ton boulot et maintient-la endormie.

Liz : C'est mon boulot de minimiser la douleur. Je ne le ferais pas si je la laissais se réveiller comme si elle avait joué en défense pour les Dolphins. Ecoute ... Ecoute ! Après avoir été agressé, accusé de meurtre, rejeté par votre mère, et jeté par votre fiancée, qui ne serait pas en colère ? Ca se comprend. Tu as eu une année vraiment difficile, Christian, mais tu ne dois pas t’en prendre à elle.

Christian : Ca suffit tes conneries femi-nazies, Liz ! Je n’en ai rien à foutre que tu ne travaille plus ici à plein temps. Quand tu m'assiste, tu es une employée, ce qui veut dire ferme-la et sert le chirurgien !

Liz : C'est la dernière fois que je vous fais une faveur.

Christian : Tes faveurs ne sont plus requises. Linda peut m'aider à finir.

Liz : Parfait. Ok, tu la retourne lentement, et ensuite tu l'extube quand tu le peux.

Scène 5 : Bloc opératoire, opération du Caporal Brandt.

Sean : Lame de 15 ………………………….

Quentin : J'ai appris que quelqu'un avait peint une croix gammée sur un casier à l'école de Matt.

Sean : Comment tu sais ca ?

Quentin : Rien. Je me demandais juste s'ils avaient une idée de qui l'a fait.

Sean : Pinces Adsen. Ciseaux.

Quentin : C'est drôle, n'est-ce pas ? Peindre quelques lignes en zigzag sur un casier est considéré comme un crime de haine. Mais tant de choses sont exclues de cette appellation. Le viol, le meurtre, l'inceste. Pourquoi ne les appelle-t'on pas des crimes de haine ? La guerre. C'est pas considéré comme un crime du tout. Pourtant, haïr votre ennemi permet de le tuer plus facilement.

Sean : Que dirais tu de coucher avec l'ex-femme d'un collègue ? C'est pas un crime de haine ?

Quentin : Pourquoi ne pas nous comporter en hommes et régler le problème immédiatement ? Je te hais.

Sean : Quelle coïncidence. J'ai hâte que vienne le jour d'expiration de ton contrat, pour qu'on puisse te foutre dehors.

Quentin : Pourquoi ne le faites-vous pas maintenant, Sean ? Fait-le ! Rachetez ma part. Oh, c'est vrai, vous n'en avez pas les moyens.

Sean : Si tu recherches une déclaration de guerre, Quentin, tu l’a. Le gant a officiellement été jeté par terre.

Quentin : J'accepte le défi. Aussi inconfortable que vous essayiez de rendre ma vie par ici, j'ai plusieurs délicieuses manières de la rendre plus difficile pour vous. Et ensuite, à la fin de la journée, je peux rentrer à la maison et me débarrasser de mon surplus d'agressivité... en baisant Julia.

Scène 6 : Chambre de repos des patients

Quentin : Comment nous sentons-nous aujourd'hui, Caporal ?

Caporal Brandt : Où est le Dr. McNamara ? Je pensais qu'il était mon chirurgien.

Quentin : Je ne fais qu'un suivi. Il y a un problème ?

Caporal Brandt : Non, j'imagine que vous serez très bien ……………………………….

Quentin : Vous savez, j'ai repensé à votre histoire. Elle est vraiment tout à fait étonnante.

Caporal Brandt : Essayez d'imaginer que ça vous arrive à vous.

Quentin : Vous devez vous être senti si... si vulnérable.

Caporal Brandt : Quand vous êtes attaqué, vous devez laisser tomber ces sensations.

Quentin : Ouais ………….. Bon, tout guérit très bien. Une fois que nous aurons retiré les sutures, il ne devrait y avoir aucune cicatrice.

Caporal Brandt : D'accord.

Quentin : Excusez-moi ………… Vous ne nous avez pas dit que vous aviez reçu de la limaille là. Vous savez, on aurait pu s'en occuper en même temps.

Caporal Brandt : Non, je ne veux pas que tout soit réparé. Ce sont des souvenirs, mes propres médailles d'honneur.

Quentin : Laissez-moi au moins regarder et m'assurer qu'aucune cicatrice chéloïdienne ne se forme …………. Bien. C'est bien ………………….. Oh ! Y’en a d’autres !

Caporal Brandt : Qu'est-ce que vous croyez faire au juste ? J'suis pas une tarlouze... docteur. Je suis un homme marié. J'ai une femme.

Quentin : Je peux voir... pourquoi vous avez demandé le Dr. McNamara.

Scène 7 : Spa de la Mer

Julia : Christian, hey ! C'est cool de te voir. Quel élégant endroit tu as là, Julia. Je comprends pourquoi les patients défoncent les portes pour entrer.

Julia : Je suis contente que tu approuves. Tes critères de décoration sont très hauts, donc je suis flattée. Je peux te proposer de visiter, t'offrir un verre ?

Christian : Pourquoi tu prends des gants ?

Julia : Non, je suis juste heureuse de te voir. Tu  vas bien ?

Christian : Je vais très bien.

Julia : T'es sûr ? Tu viens de traverser une expérience particulièrement traumatisante, tu sais. Pourquoi ne prends-tu pas des vacances pour aller quelque part...

Christian : Ca suffit la pitié, ok ? Je n’ai pas besoin de vacances. Kimber m'en a déjà donné. Je suis ici pour le suivi d'une patiente …………………………………………………

Mlle Mays : Dr. Troy, je ne pensais pas que vous passeriez. Après tout ce que vous avez traversé, je veux dire. J'ai appris que vous aviez été abandonné devant l'autel ? Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, Dr. Troy, mais votre ex-fiancée semble être une vraie tête de linotte. A quoi pensait-elle ? Vous êtes un riche et beau plasticien, tout ce qu'une femme pourrait désirer. C'est peut-être pas plus mal de toute façon. Bien sûr, n'importe quelle femme serait prête à vous épouser, mais si vous ne vous mariiez jamais, vous pourriez avoir n'importe quelle femme chaque nuit de la semaine. Et aucune d'elles ne vous harcèlera parce que vous ne baissez pas le siège des toilettes. Je pense...

Christian : La ferme ! Occupons-nous de vous. C'est pour ça que je suis là ……………………. Merveilleux travail.

Mlle Mays : J'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre. Je ferais peut-être mieux de changer de nom ou autre. Flasquy Abby est morte. Mais vous m'avez frappée avec un manche à balai pendant que vous aspiriez mes hanches ?

Christian : La douleur est un petit prix à payer pour la beauté. Vous ne croyez pas ?

Mlle Mays : J'aurais pu payer le double. Quand pourrai-je sortir pour voir mon Dr. Christian Troy ?

Christian : Quand sortez-vous ?

Mlle Mays : Vendredi après-midi.

Christian : Alors pourquoi ne pas passer par chez moi Vendredi soir vers 20 heures ?

Mlle Mays : Ok.

Scène 8 : Chambre de repos des patients

Le Caporal Brandt est entrain de prendre Quentin, Sean les surprend.

Scène 9 : Appartement de Julia

Julia : Hey !

Sean : Hey. Ca sent bon.

Julia : Je ne pense pas en avoir fait assez, sinon je t'aurais invité à rester dîner. Tu viens voir Matt ?

Sean : Ouais. Il est dans le coin ?

Julia : Oui, il... étudie avec Ariel.

Sean : Bien. Je veux lui parler aussi.

Julia : Non, je pense que tu ne devrais pas les déranger, Sean.

Sean : Pourquoi pas ?

Julia : Ben, tu te souviens ce qu'il s'est passé lors de notre premier rendez-vous, pas vrai ?

Sean : Oui. Justement.

Julia : Si tu fais ça, il se pourrait qu'il ne revienne jamais …………..

Sean : Mon dieu, ils couchent ensemble ? Julia !

Julia : Sean, je préfère qu'il passe son temps ici que dans la rue. Ca serait encore pire qu'avec Ava. Au moins Ariel a son âge.

Sean : T'étais  au courant ?

Julia : Oui, et je lui ai donné des préservatifs, comme tu l'as fait une fois, Sean.

Sean : C'était différent.

Julia : Vraiment ? Le fait que des parents fournissent une contraception à leurs enfants peut avoir une double signification ?

Sean : Non ! Je ne veux pas que notre fils couche avec elle ! Cette fille est le diable en personne.

Julia : C'est une adolescente !

Sean : Non, elle est raciste, Julia ! T'as déjà eu une conversation avec elle ? Ou tout d'un coup n'y a-t'il plus que ta carrière qui t'intéresse ?

Julia : J'ai été occupée avec le SPA, mais pas une seule chose ne m'a échappé dans cette famille.

Sean : Oh, vraiment ? Quelque chose t'a échappé. la bite d'un type dans le cul de ton petit-ami !

Julia : Pourquoi tu dis ça ?

Sean : J'ai vu Quentin se faire mettre par un patient cet après-midi. Et je ne pense pas qu'il se faisait régler la note.

Julia : Je ne peux pas croire que tu sois jaloux. Qu'est-ce que c'est, Sean ? Si je ne peux pas t'aimer, je n'ai pas le droit d'aimer quelqu'un d'autre ?

Sean : Je ne veux pas te voir souffrir, c'est tout.

Julia : Oh ! Tu as une curieuse manière de le montrer.

Sean : Tu couches avec lui ? Si c'est le cas, double le préservatif ! …………………………

Matt : Qu'est-ce que tu lui as dit ?

Sean : Le fait que tu baises ta copine dans cette chambre apporte au moins une chose. Comme ça ni l'un ni l'autre n'est susceptible d'être dehors à commettre d'autres crimes de haine !

Matt : De quoi tu parles ?

Julia : Il est temps que tu partes, Sean. Tu as assez perturbé cette famille pour la journée.

Sean : Avez-vous, toi et ta petite-amie, quelque chose à voir avec une croix gammée peinte sur un casier ?

Matt : Non.

Ariel : J'ai appris que vous aviez aidé la fille dont c'était le casier à cacher son nez juif. Pour moi, c'est comme si vous étiez complice du crime, Dr. McNamara.

Sean : Ne la laisse pas tisser sa toile d'araignée autour de toi, Matt. Tu vaux tellement mieux qu'elle.

Matt : Hey ! Ferme ta gueule. On est amoureux ………………. Je t'aime.

Ariel : Je t'aime aussi …………………

Sean : Je ne vais pas tolérer ça.

Matt : Pourquoi... pourquoi tu fais toujours passer la haine avant l'amour, mec ?

Scène 10 : Chambre de repos des patients

Sean : Bonjour, Caporal. Ahh, vous devez être...

Femme : Chloé Brandt. Enchanté

Sean : Enchanté

Caporal Brandt : C’est ma petite femme !

Mme Brandt : Vous avez fait un excellent travail sur son visage. Je retrouve mon fantastique Oliver.

Quentin : Ca doit être merveilleux que votre mari soit revenu, Mme Brandt.

Mme Brandt : Oh, ça l'est. C'est comme si le cauchemar s'était terminé par la réalisation d'un rêve. Et dès qu'on saura où est nommé Oliver, on commencera à chercher une maison et on essaiera d'avoir un enfant.

Quentin : Oh, c'est... c'est fantastique.

Sean : Avez-vous passé un examen médical depuis son retour, Chloé ? Un test sanguin ?

Mme Brandt : Non. Pourquoi ? Je devrais être informée de quelque chose ?

Caporal Brandt : Non, non, c'est une bonne idée. Qui sait à quelles maladies j'ai pu être exposé en Irak ? Je connais pas mal de types qui ont attrapé ce truc du parasite Phlebotomus.

Mme Brandt : Je prendrai un rendez-vous avec le Dr. Flickinger.

Caporal Brandt : Chérie, tu as apporté mon sweat ? Je... je ne le vois pas.

Mme Brandt : Oh, j'ai dû le laisser dans la voiture. Je cours le chercher.

Quentin : Elle est adorable, Caporal. Vous avez de la chance.

Sean : Chloé est-elle au courant de vos activités extraconjugales ?

Caporal Brandt : Je  ne vois pas de quoi vous voulez parler.

Sean : Je vous ai vu avoir des rapports sexuels avec le Dr. Costa, Caporal Brandt. Non seulement ce comportement est fortement répréhensible entre un docteur et son patient, mais j'ai la forte impression que votre pauvre, confiante épouse n'en a aucune idée.

Quentin : Vous et Christian avez eu des rapports avec des patientes, Sean. J'ai cru que c'était une pratique courante par ici.

Sean : Je vous suggère de le dire à votre femme, tout comme je l'ai dit à ma femme pour le Dr. Costa.

Quentin : Ex-femme. C'était une erreur.

Caporal Brandt : Ok, excusez-moi. Attendez une minute. Pourquoi est-ce que je me retrouve au milieu de votre tir croisé, et je n'ai eu de rapport avec personne, ok ? Je ne suis pas pédé.

Quentin : Personne ne vous accuse de rien, Caporal. Le Dr. McNamara est juste jaloux parce que je vois son ex-femme. Il est évident qu'il ressent toujours quelque chose pour elle.

Sean : J'imagine qu'on peut laisser l'Association Médicale Américaine en décider. Je dépose une plainte pour inconduite sexuelle.

Quentin : Et je leur dirai que votre vendetta personnelle contre moi a maintenant impliqué injustement un patient.

Sean : Caporal Brandt, je suis désolé d'en arriver là, mais je vous laisse deux choix... vous pouvez dire au Conseil de l'Ordre des Médecins que le Dr. Costa a sexuellement abusé de vous sans votre consentement... ce qui aura pour conséquence, pour le Dr. Costa, la perte de son travail et de son permis de pratiquer, ou vous pouvez admettre que ce qui s'est produit était consensuel et faire face à votre destin avec l'armée.

Scène 11 : Spa de la Mer

Quentin : Salut.

Julia : Hey.

Quentin : C'est, heu... c'est tranquille par ici.

Julia : Nous n'avons que deux patientes nuit. Plusieurs sont parties avant le week-end …………

Quentin : Tu es tendue. C'est quoi ce.. ce dicton ? Le diable c'est le nœud entre tes omoplates.

Julia : Ce fut une longue journée ……………………….

Quentin : Laisse-moi t'aider à te relaxer.

Julia : Inaugurons le jacuzzi ……………………… J'ai une question à te poser. Sean m'a dit qu'il t'avait vu avoir des rapports avec un patient hier.

Quentin : Il... il quoi ?

Julia : Quentin, si tu es gay, je comprendrai.

Quentin : Oh, Julia. Julia, tu ne vois pas ce qu'il est en train de faire ?

Julia : Ce n'est pas une réponse.

Quentin : Il essaye de se mettre entre nous. Tu ne penses pas que c'est une sacrée coïncidence qu'il prétende m'avoir vu baiser un type hier, dans notre cabinet, où mon patron, ton ex-mari aurait pu me surprendre ? C'est comme s'il te disait que si tu ne peux pas l'aimer tu ne peux aimer personne d'autre. Tu veux le croire ? Tu vas complètement ignorer chaque seconde que nous avons partagée ? …………….. Chaque seconde que nous avons partagée sur la piste de danse, hmm ? Chaque caresse de nos lèvres. Chaque doux contact de notre peau.

Julia : Alors pourquoi n'as-tu pas essayé de coucher avec moi ? Ca fait presque un mois qu'on sort ensemble.

Quentin : Je fais les choses... différemment. C'est... une question d'honneur.

Julia : Ben, si ça continue, je préférerais un peu moins d'honneur et un peu plus de chaleur ………….

Quentin : Comme ça ? C'est assez chaud pour toi ?

Scène 12 : Appartement de Christian

Christian : Entrez. Prendrez-vous un verre ?

Mlle Mays : Et pour le dîner ? Je pensais...

Christian : J'ai pensé qu'on pourrait peut-être rester ici.

Mlle Mays : C'est une idée géniale. Je prendrai un vin blanc gazeux. J'ai entendu dire qu'il y avait moins de calories dans l'eau gazeuse, pas vrai ? Je ne veux pas regrossir ……….. Christian, je veux vous remercier pour ça. Vous m'avez déjà donné plus que j'aurais jamais imaginé.

Christian : Ne vous saoulez pas, Abby. Je veux que vous soyez pleinement consciente de ce qu'il va se passer après ………….. Qu'est-ce que vous faites ? On dirait une truite.

Mlle Mays : Je suis désolée. Je croyais que vous vouliez m’embrasser ?

Christian : Avant ça, pourquoi ne pas vous glisser dans quelque chose d'un peu plus confortable ?

Mlle Mays : Je n'ai rien apporté.

Christian : C'est ok. J'ai fait des courses. C'est sur le lit ………………….

Mlle Mays : C'est un sac.

Christian : Oui.

Mlle Mays : Je croyais que vous aviez dit que vous aviez fait des courses.

Christian : En effet, à l'épicerie. Et je recycle. Et maintenant j'aimerais que vous fassiez bon usage de ce sac. Je veux que vous le mettiez.

Mlle Mays : Que voulez-vous dire ?

Christian : Si vous voulez coucher avec moi, vous devez mettre le sac sur votre tête, que je ne voie pas votre visage. Vous n'allez pas suffoquer si c'est ce qui vous inquiète. Allez, Abby. Combien de chances allez-vous avoir dans votre vie de coucher avec quelqu'un comme moi ? Hmm ? Vous me voulez ou pas ?

Mlle Mays : Oui.

Christian : Plus fort !

Mlle Mays : J'ai dit oui. Je vous veux.

Christian : Alors mettez-le.

……………………………………………………………………………………………..

Scène 13 : Chambre de repos des patients

Quentin : Je comprends pourquoi vous êtes entré dans l'armée, Caporal. Ca vous donne l'opportunité de jouer un rôle, de cacher votre véritable personnalité.

Caporal Brandt : C'est drôle, Dr. Costa. Cacher votre véritable personnalité au Dr. McNamara semble être exactement ce que vous avez fait.

Quentin : Avez-vous pris votre décision ? Allez-vous être un homme et dire la vérité ? Ou bien allez-vous mentir en essayant de détruire ma carrière pour sauver la vôtre ?

Caporal Brandt : Il semblerait que je n'aie pas trop le choix. Pourquoi devrais-je faire quelque chose pour sauver vos fesses ? Même si je les ai appréciées.

Quentin : Vous n'êtes pas un héros. Pour vous, il est plus respectable de tuer un homme que d'être homosexuel.

Caporal Brandt : Et vous préférez ruiner tout ce que je représente que livrer vos propres batailles. Le serment d'un docteur n'est-il pas "en premier lieu, ne fais pas de mal" ?

Quentin : Bon point pour vous. Parce qu'aujourd'hui je vous ai aidé, caporal. Ce matin, j'ai appelé votre supérieur et je l'ai informé de votre vraie nature... gay et lâche.

Caporal Brandt : Vous avez fait quoi ?

Quentin : J'ai parlé au Colonel Watterson. Je lui ai dit que j'en témoignerai si nécessaire.

Caporal Brandt : Enfoiré ! ……………………………

Quentin : Maintenant il est temps de l'affronter.

Scène 14 : Bloc opératoire

Sean : Nous n'avons pas besoin de toi pour cette intervention, Quentin. Pourquoi ne rentres tu pas chez toi ?

Christian : Ou pourquoi ne pousses tu pas jusqu'aux docks ? J'ai appris que tout un régiment de marins venait d'arriver pour 3 jours de permission.

Quentin : J'ai réfléchi, messieurs, et j'ai décidé de vous proposer un marché. Nous savons tous qu'il est devenu pénible de travailler dans cette ambiance. Ma présence n'est pas souhaitée. Je vais vous faire une offre que vous ne pouvez pas refuser.

Sean : Nous écoutons.

Quentin : Rachetez mon contrat pour la moitié de sa valeur.

Sean : Très bien. Nous ferons rédiger les papiers par nos avocats dans la matinée.

Quentin : Non, non, non. Il n'est pas nécessaire d'attendre si longtemps. J'ai déjà pris toutes les dispositions nécessaires. Je vais laisser les papiers sur votre bureau.

Sean : Non. On va s'occuper de ça dès maintenant ………………. Tout me paraît réglo. On vas signer ca ! …………………….

Quentin : Maintenant je pars. J'enverrai quelqu'un récupérer le reste de mes affaires dans la matinée.

Sean : C'est une merveilleuse idée.

Christian : Pourquoi as-tu changé d'avis, Quentin ? As-tu subitement réalisé qu'il y avait un  certain nombre de nouveaux patients à sodomiser à Atlanta ?

Quentin : En fait, Christian, je vais rester ici, à Miami. J'ai accepté un travail de plasticien à résidence au SPA De La Mer ……… Je travaille pour Julia ……………………..

Scène 15 : Bureau de Christian

Une lettre est posée sur son bureau

Voix de Kimber : « Cher Christian, Je t'ai imaginé en train de lire cette lettre depuis le jour où je suis partie. Dans ton intérêt, j'espère que tu as évolué et que tu te souviens à peine de mon nom. (Kimber est enfermée dans un hangar, sa robe est tache de sang, elle écrit la lettre) Sache bien que te quitter le jour de notre mariage était la dernière chose que je voulais faire. J'ai essayé de te dire ça à maintes reprises, mais je n'y suis pas arrivée. Alors je suis juste partie. Mais les mots doivent quand même être dits. Nous n'étions pas faits pour passer nos vies ensemble. Il y a une chose dont je te remercie... m'avoir obligée à choisir entre toi et ma carrière. Tu m'as aidée à réaliser que ma carrière m'apporte tout ce dont j'ai besoin... individualité, pouvoir, autonomie... tandis qu'être ta femme me dépouillerait de ma dignité et de ma personnalité. Donc je me suis choisie, moi. Tu me détestes probablement pour ça, et j'en suis désolée. N'essaye pas de me retrouver. Je ne veux plus jamais te revoir. Ca serait trop douloureux et n'apporterait rien. Adieu. Kimber »

Un monte charge arrive, le découpeur en sort.

Kimber : Pourquoi me forcez-vous à faire ça ?

Le Découpeur : La lettre ………. Merci.

Kimber : Non. Stop. Mon dieu.

Retour dans le bureau de Christian

Mlle Mays : Christian ? ……………

Christian : Que faites-vous là ? Vous avez finalement trouvé une bribe d'amour-propre et vous êtes venue me dire que je suis un connard ?

Mlle Mays : Vous et moi sommes très semblables, vous savez. Je sais que vous me détestez, mais ça ne me dérange pas. Parce que je me déteste aussi.

Christian : Vous ne pourriez pas être plus pathétique.

Mlle Mays : Oui, je sais. Vous avez été très clair là-dessus. Mais, Christian, c'est cool pour moi. J'aime ne pas avoir à me préoccuper de savoir si vous m'aimerez jamais. Je n'ai pas à essayer de vous plaire. Ca ne serait qu'une perte de temps. N'avez-vous rien compris ? La nuit dernière, ce n'était pas des larmes d'humiliation que vous avez vues. C'était des larmes de joie. J'ai eu le premier orgasme de ma vie avec vous. Je suis allée sur internet pour essayer d'avoir des informations sur mes sentiments. Selon les sites web, je dois être masochiste. Et vous, vous êtes sans aucun doute un sadique. Nous sommes faits l'un pour l'autre. (Elle sort le sac de son sac à main, le pose sur son bureau, son numéro de téléphone est inscrit dessus). Chaque fois que vous me voudrez, faites-le moi savoir. Et je porterai à nouveau le sac. Je m'en fous.

Christian : Passez chez moi ce soir à 21 heures.

Elle sort, il pleure.

 

FIN (Ecrit par Sophia81)

Sean's old office, consultation room.

Inspector: It was spray painted on the locker of a Jewish girl from Prepa. Coral Gables. A few blocks away, "Go home, heads of lemons" was scrawled on the door a couple Amerasians.

Sean: That's terrible, Inspector, but what concerns us?

Inspector: The teenager and the asian husband were patients of you ... ... So none of your folders has disappeared? No strange behavior among your employees or patients?

Sean: No ... but redouble its vigilance on issues and we will keep an eye out for anything unusual.

Inspector: Well, I will see you in a few days. If you just anything in mind in the meantime, pass me a call, please.

Christian: Ok

Sean Inspector. Someone must have gone for how long for you to install a missing report?

Christian: It has not gone away, Sean.

Inspector: Have you any reason to suspect behavior irrational?

Christian: No, I suspect that my fiancee has just regained consciousness.

Inspector: I never thought that something like this could happen to someone like you ...

Sean: Christian, I know it is only a few days, but do not you think that you should consider every possible scenario? It's not like ...

Christian: Kimber is part ... and I turn the page, Sean. I'm not meant to be married, or she, or someone else. Look at me. I'm not a plastic surgeon who has successfully domesticated with beautiful hair, a sparkling smile, and 83 inches off my waist. I'm a fucking superhero. And I will put my cape flying in every singles bar in town ... and kissed to death. They are waiting for a consultation.

Office of Christian

Christian: Tell me what you don't like about yourself, Miss. .. Mays.

Miss Mays: I do not look like a Clydesdale. My face would suit a muzzle, and those hips and legs could take such a load of Budweiser. This is where your professional tact should occur. You should say: "No, Abby, I think you're an attractive woman." Or at least one lovely girl? That was the word used by my father for the ugly ... charming.

Christian: Why are not you a little more specific about the changes you want?

Miss Mays: I just know I want to be beautiful to be loved by someone like you. Ok, not exactly you, I know that you are inaccessible. I know that. I saw you in the magazine Beach Drive. I know you have been designated as one of the 50 single most coveted of Miami. But you are no longer available, right? You are ... fiance?

Christian: Not anymore. Listen, if it's a boyfriend you are looking for, why not you would save your money by trying the meetings or online ads? I'm sure there's someone somewhere who would be perfect for you.

Miss Mays: I've all made, but nothing worked. At most meetings, the type usually turns on his heel and leaving the restaurant when he saw Abby Flasquy or they are hideous and it is I who am going.

Christian: You know, the ugly are usually the best lovers. True ... generous ... to compensate for their imperfections.

Miss Mays: It's not because I am ugly I am attracted to ugly, Dr. Troy. I buy all the magazines, I watch MTV. I am also affected by the media as anyone.

Christian: Honey, you never like Angelina, and you never sleep with Brad. Simple as that. Feared for you life.

Miss Mays: Do not you think I should try plastic surgery?

Christian: You need multiple operations, and none are cheap.

Miss Mays: I realize that. I want to do whatever it takes to be beautiful.

Christian: Okay. Give me your lipstick and take off your clothes.

Miss Mays: It's really necessary?

Christian: Your first step to a life of beauty is to look long and cold reality. So yeah, I think it's necessary. Naked. Beauty is symmetry and you have none. I must first get rid of all that cheese disgusting. And here you will need a laser hair removal to keep the forest under control. It will cut the fender. Have you ever lifted something heavier than a carton of Haagen Dazs?

Miss Mays: Well, I'm not fitness or otherwise.

Christian: Of course. Your beer belly will need extensive abdominal lipo. And you could insulate your home with the amount of fat I'll suck your hips and your buttocks ...

Miss Mays: Something wrong?

Christian: I'm running out of lipstick.

Miss Mays: And for my face, Dr. Troy?

Christian: It's a lost cause. But when I sculpt your body with tumescent liposuction, there may be recoverable.

Miss Mays' Recoverable? "

Christian: Can be done. Fuckable. Ready to bareback. Now replace your clothes. You look like a map of hell.

Former Office of Sean, salon consultation.

Quentin: After removing the metal inlay, one can equalize the surface of the skin with a light micro dermal abrasion.

Sean: Sorry, Dr. Costa. I'll do it from now on.

Quentin: I thought to get ahead and begin. I do not want this soldier lost his time.

Sean: His time will be lost if one looks twice ...

Soldier: It's not a doctor?

Sean: Yes, but you deserve to be examined by a partner, instead of one of our doctors associated simple.

Soldier: Sounds great.

Sean: Can you tell me how you got those scars from shrapnel, Corporal Brandt?

Corporal Brandt: I ran a regular supply convoy on Route Irish. This is the only road between central Baghdad and the airport. It's called the most dangerous road in the world because there are almost daily attacks. The car I drove had taken a direct hit from a rocket launcher ... and it was hell. My teammate took a grenade in the chest, and it was reduced to powder. I saw the guy that we launched about 200 meters on the roof of a building. He danced. I lost the ball. I had no weapon on me, but I went right over that building.

Sean: You were not afraid?

Quentin: I did exactly the same thing.

Corporal Brandt: No, it was not fear. It sounds terrible, but ... when you are in this kind of situation, and they attack you for no reason is hatred takes over. Protecting you, even.

Sean: What did you do?

Corporal Brandt: He was taller than me, so at first he kept me at bay, but I finally knocked ... and I pressed my thumbs into his eyes until they were covered with blood. He began to squirm strangely, so I took his pitcher, and I knocked on the head again and again. I just kept hitting him on the head until it is wide open. When I saw the bone, I knew he was dead.

Quentin: What a terrible experience.

Corporal Brandt: I guess. I'm kind of indifferent to it all now. All the blood and everything. You should know what I mean. You handle the gore every day, right?

Quentin: I do not think anyone could get used to the massacre.

Sean: I see you have a woman ... Chloe. She should be glad you are back.

Corporal Brandt: Yeah. Yeah. I'll even stay awhile. The army wants me to recruit for them now. I mean, that's why they pay for cosmetic surgery. So I'm going to hang around high schools and malls and push people to get involved.

Operating Room, Operation Miss Mays

Christian: It's like old times to have you here, Liz.

Liz: Do not get excited too, Christian. I will devote myself today because you could not find anyone else at the last minute.

Christian: It is properly relaxed?

Linda: Yes, doctor.

Christian: Metz Cannula ...

Liz: Christian! Go easy on them! I gave this patient enough Propofol for liposuction. You're not removing the ice from a windshield of car.

Christian: The tumescent liposuction leaves very small lesions. Just do your job and keeps it asleep.

Liz: That's my job to minimize pain. I would not do it if I let her wake up as if she had played defense for the Dolphins. Listen ... Listen! After being assaulted, accused of murder, rejected by your mother, and thrown by your girlfriend, who would not be angry? It is understandable. You had a difficult year really Christian, but thou shalt not take thee to her.

Christian: Enough bullshit Femi-Nazi, Liz! I do not care that you no longer work here full time. When you help me, you're an employee, which means shut up and serves the surgeon!

Liz: That's the last time I make you a favor.

Christian: Your favors are no longer required. Linda can help me finish.

Liz: Okay. Ok, you return it slowly, and then you extubation when you can.

Operating Room, Operation Corporal Brandt.

Sean: Blade 15

Quentin: I learned that someone had painted a swastika on a school locker Matt.

Sean: How do you know that?

Quentin: Nothing. I was just wondering if they had any idea who did it.

Sean: Adsen forceps. Scissors.

Quentin: It's funny, is not it? Paint some zigzag lines on a criminal is considered a hate crime. But so many things are excluded from this designation. Rape, murder, incest. Why do not you one-called hate crimes? War. It is not considered a crime at all. However, hate your enemy can kill more easily.

Sean: What would you sleep with the ex-wife of a colleague? It's not a hate crime?
Quentin: Why do not we behave like men and solve the problem immediately? I hate you.

Sean: What a coincidence. I look forward to come the day of expiry of your contract, so that you can fuck off.

Quentin: Why do not you now, Sean? Do it! Redeem me. Oh, yes, you do not have the means.

Sean: If you seek a declaration of war, Quentin, you have it. The gauntlet was officially thrown down.

Quentin: I accept the challenge. As uncomfortable as you try to make my life here, I have several delicious ways to make it more difficult for you. And then at the end of the day, I can go home and get rid of my excess aggression ... Julia kissing.

Rest House patients

Quentin: How do we feel today, Corporal?

Corporal Brandt: Where is Dr. McNamara? I thought it was my surgeon.

Quentin: I do a follow-up. There is a problem?

Corporal Brandt: No, I guess you'll be fine ...

Quentin: You know, I thought back to your story. It is really quite amazing.

Corporal Brandt: Try to imagine that it happens to you.

Quentin: You must have felt so ... so vulnerable.

Corporal Brandt: When you're attacked, you must drop these sensations.

Quentin: Yeah ... Well, everything heals well. Once we removed the sutures, there should be no scar.

Corporal Brandt: Okay.

Quentin: Excuse me ... You did not say that you have received the filings here. You know, we could deal with it at the same time.

Corporal Brandt: No, I do not want everything to be repaired. They are memories, my own medals of honor.

Quentin: Let me at least watch and make sure that no keloid scar from forming. Good. That is ... Oh! Has it more!

Corporal Brandt: What do you think about? I'm not a queer ... doctor. I am a married man. I have a wife.

Quentin: I can see ... why you asked Dr. McNamara.

Spa Sea

Christian: hey! It's cool to see you. What a stylish place you got there, Julia. I understand why patients knocked down the doors to enter.

Julia: I'm glad you approve. Decorating your criteria are very high, so I'm flattered. I propose you to visit, offer you a drink?

Christian: Why you take the gloves?

Julia: No, I'm just happy to see you. You okay?

Christian: I'm fine.

Julia: You sure? You just go through a particularly traumatic experience, you know. Why do not you take a vacation to go somewhere ...

Christian: Enough pity, ok? I did not need holidays. Kimber has already given me. I am here to monitor a patient ... 

Miss Mays: Dr. Troy, I do not think you would pass. After everything you went through, I mean. I learned that you had been abandoned at the altar? I do not want to meddle with what does not concern me, Dr. Troy, but your ex-girlfriend appears to be a real airhead. What was she thinking? You are a wealthy and beautiful artist, everything a woman could desire. It is perhaps no worse anyway. Of course, any woman would be willing to marry you, but if you ever do get married, you could have any woman every night of the week. And none of them harass you because you do not lower the toilet seat. I think ...

Christian: Shut up! Let us look after you. That's why I'm here ... Wonderful work.

Miss Mays: I feel like someone else. Maybe I'd better change the name or another. Flasquy Abby died. But you hit her with a broomstick while you aspire my hips?

Christian: Pain is a small price to pay for beauty. Do not you think?

Miss Mays: I could pay double. When can I go out to see my Dr. Christian Troy?

Christian: When you come from?

Miss Mays Friday afternoon.

Christian: So why not pass by my house Friday evening about 20 hours?

Miss Mays: Okay 

Julia's Apartment

Julia: Hey!

Sean: Hey. It smells good.

Julia: I do not think I have done enough, otherwise I would have asked to stay for dinner. You just see Matt?

Sean: Yeah. It is in the corner?

Julia: Yes, it ... studied with Ariel.

Sean: Okay. I want to talk too.

Julia: No, I think you should not bother them, Sean.

Sean: Why not?

Julia: Well, you remember what happened during our first date, right?

Sean: Yes. Exactly.

Julia: If you do that, he might never return ...

Sean: My god, they sleep together? Julia!

Julia: Sean, I prefer that he spends his time here in the street. It would be worse than Ava. At least Ariel's age.

Sean: You were aware of?

Julia: Yes, and I gave her condoms, as you once did, Sean.

Sean: It was different.

Julia: Really? The fact that parents provide contraception to their children can have a double meaning?

Sean: No! I do not want our son to bed with her! This girl is the devil himself.

Julia: It's a girl!

Sean: No, it is racist, Julia! Have you ever had a conversation with her? Or all of a sudden there-there more than your career you want?

Julia: I was busy with the SPA, but no one does anything I missed in this family.

Sean: Oh, really? Something escaped thee. the cock of a guy in the ass of your boyfriend!

Julia: Why do you say that?

Sean: I saw Quentin to put a patient this afternoon. And I do not think he was paying the bill.

Julia: I can not believe you're jealous. What is it, Sean? If I can not love, I'm not allowed to love someone else?

Sean: I do not want to see you suffer, that's all.

Julia: Oh! You have a curious way of showing it.

Sean: You're sleeping with him? If so, double the condom!

Matt: What did you say?

Sean: The fact that you're fucking your girlfriend in this room brings at least one thing. That way neither one nor the other is likely to be out committing more crimes of hate!

Matt: What are you talking about?

Julia: It's time you go, Sean. You're quite disturbed that family for the day.

Sean: Did you, you and your girlfriend, something to do with a swastika painted on a locker?

Matt: No.

Ariel: I heard that you helped the girl whose locker was to hide his Jewish nose. For me, it's as if you were an accomplice to the crime, Dr. McNamara.

Sean: Do not let it weave its web around you, Matt. You're worth it so much better.

Matt: Hey! Shut your mouth. We love ... I love you.

Ariel: I love you too ...

Sean: I will not tolerate this.

Matt: Why ... why do you always put love before hate, man?

Rest House patients

Sean: Hello, Cpl. Ahh, you must be ...

Woman: Chloe Brandt. Enchanted

Sean: Enchanted

Corporal Brandt: That's my little wife!

Ms. Brandt: You did a great job on his face. I found my fantastic Oliver.

Quentin: It must be wonderful that your husband has returned, Mrs. Brandt.

Ms. Brandt: Oh, it is. It is as if the nightmare had ended by the realization of a dream. And once we know where Oliver is appointed, it will begin searching for a home and we will try to have a child.

Quentin: Oh, that ... it's fantastic.

Sean: Did you have a medical examination since his return, Chloe? A blood test?

Ms. Brandt: No. Why? I should be aware of something?

Corporal Brandt: No, no, it's a good idea. Who knows what diseases have been exposed in Iraq? I know a lot of guys who have caught the trick of the parasite Phlebotomus.

Ms. Brandt: I take an appointment with Dr. Flickinger.

Corporal Brandt: Honey, you brought my sweatshirt? I ... I do not see it.

Ms. Brandt: Oh, I had to leave it in the car. I run the search.

Quentin: She is adorable, Cpl. You're lucky.

Sean: Chloe is she aware of your extramarital activities?

Corporal Brandt: I do not know what you mean.

Sean: I saw you having sex with Dr. Costa, Corporal Brandt. Not only is this behavior highly reprehensible between doctor and patient, but I strongly suspect that your poor, trusting wife has no idea.

Quentin: You and Christian have been reports of patients with Sean. I thought it was a common practice here.

Sean: I suggest you tell your wife, as I said to my wife for Dr. Costa.

Quentin: Ex-wife. It was a mistake.

Corporal Brandt: Ok, sorry. Wait a minute. Why is it that I find myself in the middle of your crossfire, and I have had contact with anyone, ok? I'm not queer.

Quentin: No one is accusing you of anything, Cpl. Dr. McNamara is just jealous because I see his ex-wife. He obviously still feels something for her.

Sean: I guess we can let the American Medical Association to decide. I filed a complaint of sexual misconduct.

Quentin: And I tell them that your personal vendetta against me now unjustly involved a patient.

Sean Brandt Corporal, I'm sorry that happened, but I leave you two choices ... you can tell the Council of the College of Physicians that Dr. Costa had sexually abused you without your consent ... which would result, for Dr. Costa, lost his job and his license to practice, or you can admit that what happened was consensual and face your fate with the army.

Spa Sea

Quentin: Hi.

Julia: Hey.

Quentin: It's, uh ... It's quiet here.

Julia: We have two patients that night. Many left before the weekend ...

Quentin: You're tense. What the .. this saying? The devil is the knot between your shoulder blades.

Julia: It was a long day ... 

Quentin: Let me help you relax.

Julia inaugurate the Jacuzzi : I have a question to ask. Sean told me he had seen you have a relationship with a patient yesterday.

Quentin: It ... He what?

Julia: Quentin, if you're gay, I understand.

Quentin: Oh, Julia. Julia, you do not see what he is doing?

Julia: This is not an answer.

Quentin: It tries to come between us. You do not think that's quite a coincidence that he claims to have seen me kiss a guy yesterday in our office, where my boss, your ex-husband might surprise me? It's like he told you that if you can not love you can love anyone else. You want to believe? You'll completely ignore every second we shared? Every second we shared on the dance floor, hmm? Each caress our lips. Each soft touch of our skin.

Julia: So why did not you try to sleep with me? It's been almost a month we go out together.

Quentin: I do things ... differently. It's ... a matter of honor.

Julia: Well, if this keeps up, I prefer a little less honor and a little more heat ...

Quentin: Like this? It's hot enough for you?

House of Christian

Christian: Come in. Will you take a drink?

Miss Mays: And for dinner? I thought ...

Christian: I thought we might stay here.

Miss Mays: It's a great idea. I'll have a white wine gas. I heard there were fewer calories in soda water, right? I do not want regrossir ... Christian, I want to thank you for that. You have already given me more than I ever imagined.

Christian: Do not get drunk, Abby. I want you to be fully aware of what will happen next ... What are you doing? Looks like a trout.

Miss Mays: I'm sorry. I thought you wanted to kiss me?

Christian: Before this, why do not you slip into something a little more comfortable?

Miss Mays: I did not bring anything.

Christian: It's ok. I went shopping. It was on the bed ...

Miss Mays: It's a bag.

Christian: Yes.

Miss Mays: I thought you said you went shopping.

Christian: Yes, the grocery store. And I recycle. And now I want you to do good use of this bag. I want you put it.

Miss Mays: What do you mean?

Christian: If you want to sleep with me, you have to put the bag on your head, I do not see your face. You will not suffocate if that's what worries you. Come on, Abby. How many chances will you have in your life to sleep with someone like me? Hmm? You want me or not?

Miss Mays: Yes.

Christian: Louder!

Miss Mays: I said yes. I want you.

Christian: Then put it.

Rest House patients

Quentin: I understand why you went into the Army, Corporal. It gives you the opportunity to play a role, hide your true personality.

Corporal Brandt: It's funny, Dr. Costa. Hide your true personality to Dr. McNamara seems to be exactly what you did.

Quentin: Have you made your decision? Will you be a man and tell the truth? Or will you lie while trying to destroy my career to save yours?

Corporal Brandt: It seems I have not much choice. Why should I do something to save your butt? While I have appreciated.

Quentin: You're not a hero. For you, it is more respectable to kill a man to be homosexual.

Corporal Brandt: And you want to ruin all that I represent that deliver your own battles. The oath of a doctor is not it "first, do no harm"?

Quentin: Good point for you. Because today I helped you, Corporal. This morning, I called your boss and I informed him of your true nature ... Gay and cowardly.

Corporal Brandt: You what?

Quentin: I talked to Col. Watterson. I told him that I will testify if necessary.

Corporal Brandt: Motherfucker!

Quentin: Now it's time to face it.

Operating Room

Sean: We do not need you for this procedure, Quentin. Why do not you come home with you?

Christian: Or why do not you shoot to the docks? I learned that a regiment of sailors had just arrived for three days of leave.

Quentin: I thought, gentlemen, and I decided to offer you a deal. We all know that it became difficult to work in this atmosphere. My presence is not desired. I'll make you an offer you can not refuse.

Sean: We listen.

Quentin: Redeem my contract for half of its value.

Sean: Okay. We will prepare the papers by our lawyers in the morning.

Quentin: No, no, no. It is not necessary to wait so long. I've taken all the necessary arrangements. I will leave the papers on your desk.

Sean: No. We'll deal with it now ... Everything seems legit. We'll sign that!

Quentin: Now I'm leaving. I will send someone to retrieve the rest of my stuff in the morning.

Sean: It's a wonderful idea.

Christian: Why have you changed your mind, Quentin? Have you suddenly realized there were a number of new patients to sodomize in Atlanta?

Quentin: Well, Christian, I'll stay here in Miami. I accepted a job as a visual artist in residence at De La Mer Spa ... I work for Julia ...

Office of Christian


Kimber's voice: "Dear Christian, I've imagined reading this letter since the day I left. For your sake, I hope you have changed and that you barely remember my name. (Kimber is enclosed in a shed, her dress is stained with blood, she wrote the letter) Know that you leave our wedding day was the last thing I wanted to do. I tried to tell you this repeatedly, but I did not finish. So I just left. But words must still be told. We were not meant to spend our lives together. There is one thing I thank you ... forced me to choose between you and my career. You helped me realize that my career gives me everything I need ... individuality, power, autonomy ... while being your wife stripped me of my dignity and my personality. So I have chosen myself. You probably hate me for that, and I'm sorry. Do not try to find me. I never want you again. It would be too painful and would do nothing. Goodbye. Kimber "

A freight elevator arrives, the carver comes out.

Kimber: Why do you force me to do that?

The Carver: The letter ... Thank you.

Kimber: No. Stop. My god.

Back in the office of Christian

Miss Mays: Christian?

Christian: What are you doing? You've finally found a scrap of self-esteem and you came to tell me I'm an asshole?

Miss Mays: You and I are very similar, you know. I know you hate me, but it does not bother me. Because I hate myself too.

Christian: You could not be more pathetic.

Miss Mays: Yes, I know. You've been very clear on that. But Christian is cool for me. I like not having to worry about whether you love me forever. I'm not trying to please you. It would be a waste of time. Did you not understand? Last night, they were not tears of humiliation that you saw. It was tears of joy. I had the first orgasm of my life with you. I went on the internet to try to get information about my feelings. According to websites, I must be masochistic. And you're definitely a sadist. We are made for each other. (She takes the bag from her purse, puts it on his office telephone number is listed above). Whenever you want me, let me know. And I will bring again the bag. I do not care.

Christian: Go home tonight to 21 hours.


Kikavu ?

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CastleBeck, Avant-hier à 11:48

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