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#301 : Blessures secrètes

Titre en VO :Mooma Boone
1ére diffusion Américaine : 20 Septembre 2005
1ere diffusion française : 30 Décembre 2005
Réalisateur :Elodie Keene
Casting: Julian McMahon, Dylan Walsh, Joely Richardson, Roma Maffia, John Henley, Cathy Lamkin (Mooma Boone)

Christian a été assassiné par le Découpeur. Tous ses proches se retrouvent à son enterrement. Lorsque Sean prononce l'éloge du défunt, on comprend alors que ce n’était qu’un cauchemar de Christian. En réalité, Troy n'a été que blessé par le tueur en série. Mais les blessures sont suffisamment profondes pour atteindre son moral. Il ne peut plus pratiquer. Sean lui cherche un remplaçant. Dans le même temps, il doit procéder à une intervention peu banale : séparer chirurgicalement une femme obèse du lit sur lequel elle était allongée depuis des années...

                                         
    

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Titre VO
Mooma Boone

Titre VF
Blessures secrètes

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Promo 301

Promo 301

  

Christian / Kimber

Christian / Kimber

  

Momma Boone

Momma Boone

  

Funerailles Christian

Funerailles Christian

  

Plus de détails

Sean entre dans l’appartement de Christian : des policiers le laissent passer et le mènent jusqu’à la chambre : Christian gît, dans une mare de sang. L’enterrement : Liz, Julia, Sean et Matt sont assis les uns à côté des autres pendant que le prêtre bénit le cercueil. Julia se lève pour parler, puis Kimber, et Liz, toutes les trois font une éloge de Christian, en soulevant également ses défauts, puis Sean, dit que Christian est le frère qu’il a toujours voulu. Le cercueil descend doucement, puis se bloque à mi-chemin : Christian dit à Sean que c’est à ce moment précis qu’il se réveille à chaque fois et dit que même dans ses rêves il est incapable d’avancer. Le Découpeur l’a violé.


Julia est au lit avec un homme qu’elle appelle Sean : l’homme en question sort de dessous la couette, il s’agit de Jude.  Celui-ci est de mauvaise humeur car il aimerait bien que sa relation avec Julia avance, il l’incite à prendre une décision sur son mariage.


Christian rentre chez lui et enlève les scellés de la police : il écoute ses messages : l’inspecteur Kit McGraw  l’a de nouveau appelé et souhaite le rencontrer.


Sean opère laborieusement une femme dont les prothèses mammaires se répandent sous sa peau depuis trois ans.


Christian et Kimber regardent le dernier film porno que Kimber a dirigé, mais Christian a la tête ailleurs. Kimber se lève et lui dit qu’elle a essayé d’être patiente mais qu’elle en a marre de se masturber tous les soirs pour s’endormir : Christian lui coupe la parole, toujours avachi sur le divan et lui demande de l’épouser, alors qu’au même moment, Julia demande le divorce à Sean. Sean refuse le divorce, et Kimber refuse le mariage : elle a attendu ça tellement longtemps, que le voir faire sa demande ainsi, couché, à la légère la dégoûte : il ne lui a même pas dit qu’il l’aimait.


Christian va au commissariat et rencontre Kit, une jeune femme flic très séduisante, à l’accent anglais charmant. Plutôt froide et sûre d’elle, elle demande tous les détails de l’agression à Christian, qui lui affirme qu’il n’a pas été violé. Pendant ce temps là, les flash-back du viole en question nous saute au visage.
Sean reproche un peu plus tard à Christian son manque de disponibilité et Christian lui répond qu’il aurait été un peu plus disponible si Sean n’avait pas réparé toutes les victimes du Découpeur les mettant ainsi en danger. Sean réplique qu’il pense faire appel à Quentin Costa pour les soulager et leur permettre de continuer. Un coup de fil de la police : ils ont besoin de Sean : l’inspecteur Fisherman présente Momma Boone à Sean : une femme obèse que la sciatique a clouée au divan depuis plus de 3 ans : le poids et les fluides corporels ayant fait leur travail, Momma Boone a fusionné avec le tissu, développant de multiples infections, elle a besoin d’être opérée de toute urgence. Les pompiers font tomber un mur pour permettre de la sortir avec le divan.


Christian rencontre Quentin, qui débarque tout juste d’Atlanta : il n’était même pas au courant que Sean l’avait déjà contacté pour lui proposer un partenariat. Christian reste courtois mais essaye de lui faire comprendre qu’il est hors de question qu’il soit mis sur la touche de cette façon.


Liz, Christian et Sean se rendent à l’hôpital pour opérer Momma Boone. L’opération s’avère très longue, douloureuse et délicate. Mais l’infection est trop étendue et l’amputation d’au moins une jambe est nécessaire. Pendant que le trio discute, Momma Boone fait un arrêt cardiaque. Elle a signé une demande de non-réanimation en cas de problème.


Julia et sa mère Erica discutent du divorce : Erica a obtenu qu’une avocate spécialisée dans les divorces s’occupe de son dossier : ainsi Julia pourrait obtenir la moitié des parts de Sean en ce qui concerne le cabinet. Mais ce n’est pas ce que Julia veut.


Momma Boone est enterrée : sa fille June parle d’elle d’une façon touchante, alors que son mari reste à l’écart : tout ce qu’il souhaite, c’est récupérer le divan ou Momma Boone a reposé ses trois dernières années.


Kit rend visite à Christian : il se montre réticent à lui montrer le lieu du crime, à savoir sa chambre. Kit continue à dresser le profil de Christian : réfléchis, maniaque de l’ordre et dont la seule chose douce en lui est son lit. Christian exige qu’elle se confie d’abord : elle lui raconte la mort de son mari, assassiné pour une vieille voiture. Christian accepte enfin de lui montrer sa chambre, et s’allonge pour reconstituer le crime : reconstitution qui prend un tournant très chaud et dérangeant, lorsque Kit plaque Christian dans son lit, relève sa jupe et l’embrasse : Christian inverse les rôles et lui fait l’amour brutalement.
C’est ce moment que choisit Kimber pour arriver : elle est vexée et peinée de voir les belles paroles de Christian s’envoler comme ça. Christian lui dit qu’il est de nouveau lui, qu’il est de retour, et l’invite à se joindre à eux. Kimber accepte, sans doute plus pour lui faire plaisir que pour son propre plaisir à elle. Kit et Kimber s’embrassent, se déshabillent et couchent toutes les deux avec Christian.


Julia va chercher Annie chez Sean : celui-ci dit qu’il a finit par se rendre compte qu’il devait bouger, avancer et a donc signé les papiers du divorce : mais Julia commence à regretter ses démarches, et alors que Sean enlève son alliance et s’en va, Julia serre Annie dans ses bras et répond à la question : « tu es prête à partir Maman ? », « non chérie, je ne crois pas »

Ecrit par Sophia81

Scène 1 : Appartement de Christian

Agent : Excusez-moi, Monsieur.

Inspecteur Fischman: C'est bon …. Entrez ………….. Vous êtes prêt pour ça, docteur ?

Sean : Oui.

Inspecteur Fischman: Laissez-nous un instant, Messieurs …………

Christian est étendu dans son lit, mort, la gorge tranchée

Sean : C'est lui. C'est Christian.

Inspecteur Fischman: Allez-y.

Scène 2 : Cimetière, enterrement de Christian.

Julia Discours : Christian ... était ... compliqué. Mais pour moi, il était ...... de la famille.

Kimber Discours : Il était tellement beau. Et pas qu'extérieurement. J'aurais bien aimé qu'il le sache.

Liz Discours : Christian était le seul hétéro assez arrogant pour penser pouvoir me convertir. Parfois, je détestais ce type... Mais la plupart du temps, je l'aimais.

Kimber : Je l'aimais.

Julia : Je l'aimais.

Sean : Mon premier souvenir est d'avoir demandé un frère à ma mère. J'en ai eu un à l'âge de 18 ans. Son nom était Christian Troy... et je l'aimais. Christian avait beaucoup de défauts. Mais il vivait pleinement. Je veux juste aller travailler et voir son sourire éclatant, et lui dire que ce sera difficile pour moi d'imaginer un futur sans lui. Je veux juste... Je veux parler à mon frère.

Le cercueil descend ………… Il se bloc.

Scène 3 : Quai sur la mer.

Christian : Et c'est là que je me réveille.

Sean : Tu as fait ce rêve combien de fois ?

Christian : Toutes les deux ou trois nuits depuis l'agression.

Sean : Et pourquoi d'après toi ?

Christian : Tu ne comprends pas ? Je suis coincé. Même dans mes rêves, à mes putains de funérailles, je ne peux pas aller de l'avant. Je suis dans les limbes.

Sean : Des limbes plutôt luxueux, Christian. Une maison en bord de mer à 20 000 dollars par mois, Kimber qui passe tous les soirs avec un repas chaud.

Christian : Je n'y retournerai pas.

Sean : Ça m'a pris un mois avant de pouvoir reprendre une douche. Tu sais comment j'ai surmonté ça ? Je suis retourné au boulot. J'ai recommencé à vivre.

Christian : Je ne peux pas me défaire de ce qui m'est arrivé, Sean. Je ne suis pas comme toi. Je ressens les choses. Il est là dehors. Et il va continuer à terroriser les gens jusqu'à ce qu'ils l'attrapent. Il nous tient, maintenant.

Sean : Tu te rappelles mon discours dans ton cauchemar ? Si tu crois aux théories de Jung, on est les personnages de nos rêves. Ma voix dans ton rêve est une partie de toi qui essaye de t'aider à traverser cette épreuve. Je voulais te parler, dans ce cimetière, ce qui veut dire... que tu as besoin de me parler. Je suis ton frère, tu te rappelles ? ……………

Christian : Il m'a violé.

Générique

Scène 4 : Appartement de Julia …….. Elle est au lit avec un homme.

Julia : Sean ! ……… Tu es un garçon très brillant. Il n'y en avait que pour moi ? On peut arranger ça.

Jude : Arrête.

Julia : Que se passe-t'il ?

Jude : Je sais pas, peut-être que... reprendre cette relation n'était pas une très bonne idée.

Julia : Pourquoi ? Je n'attends rien de toi, on se fait plaisir, c'est tout.

Jude : Ce n'est pas le problème, Julia. Nous sommes dingues l'un de l'autre depuis 2 ans. Il est temps d'avancer. On n'apprend plus à se connaître.

Julia : Doucement. J'ai été mariée pendant 17 ans...

Jude : Tu es toujours mariée, Julia. Il est temps de prendre une décision. Ou c’est la bite de Sean, ou c’est la mienne.

Julia : Tu sais que je te préférais avec ton faux accent anglais. Au moins, t'avais l'air plus poli.

Scène 5 : Appartement de Christian qui est sous scellés. Christian entre, retire les scellés qui entourent le lit et écoute les messages sur son répondeur.

Femme : Dr Troy, ici l'inspecteur Kit McGraw, Brigade des Mœurs de Miami Dade. Vous devez commencer à connaître ma voix. Parce que c'est le quatrième message que je laisse. Vous avez mon numéro. Rappelez-moi ou vous serez assigné.

Scène 6 : Bloc opératoire

Sean : Lame de 15.

Liz : Bon Dieu, il y en a partout. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? A son admission, elle dit avoir remarqué le silicone sortant de ses tétons depuis 3 ans !

Sean : Elle a dû penser qu'ignorer le problème est le seul moyen de le gérer.

…………………………………………………..

Sean : Un de fait. Plus qu'un.

Liz : Sean, ça prend trop longtemps. Ça fait déjà 5 heures qu'elle est inconsciente.

Sean : Je peux retirer l'autre implant demain matin.

Liz : Le lifting de Mme Meyer est prévu pour 8 heures. Nous l'avons déjà repoussé deux fois.

Sean : Christian peut s'occuper de Mme Meyer.

Liz : S'il se montre. C'était une opération pour deux chirurgiens, Sean.

Sean : Il sera là.

Liz : J'imagine que parfois, ignorer le problème semble être la seule façon de le gérer.

Scène 7 : Appartement de Christian.

Kimber : C'est moi qui ai insisté pour la musique. Je pensais à toi quand je réalisais aujourd'hui. Les critiques ont été grandioses. Rollins et Shank lui ont attribué quatre "bites dressées" ……… Et une bite molle.

Christian : Désolé. Ce n'est pas ton film, Kimber. Je suis très impressionné. C'est juste que je suis pas disponible en ce moment.

Kimber : Non, en effet. Écoute... J'ai de la peine pour ce que tu as vécu, vraiment. Et j'ai essayé d'être patiente. Mais je ne peux pas prétendre que ça ne me manque pas. Que tu ne me manques pas. J'en ai marre de me masturber pour m'endormir, je...

Christian : Épouse-moi.

Scène 8 : Maison de Sean

Julia : Je veux divorcer. Il est temps, Sean, pour nous deux.

Sean : Où est l'urgence ?

Julia : Nous sommes séparés depuis presque un an.

Sean : Pourquoi fais-tu ça ? Ça paraît tellement...

Scène 9 : Appartement de Christian

Kimber :  ...inattendu. Ce n'est pas ce que j'espérais. Comment peux-tu vouloir te marier alors qu'il y a un instant tu disais ne pas être disponible ?

Christian : J'ai peut-être besoin de m'ouvrir. Tu es là, tu as toujours été là. J'ai toujours pu compter sur toi. Nous devrions...

Scène 10 : Maison de Sean

Julia :  ...le faire. Je ne veux pas mettre le reste de ma vie en attente. J'ai besoin d'avancer. J'ai besoin de savoir que j'en ai la possibilité.

Sean : Je pensais que les choses s'amélioraient.

Julia : La courtoisie ne signifie pas forcément réparation.

Sean : Je ne signerai pas ça. Non !

Scène 11 : Appartement de Christian

Kimber : Non.

Christian : Non ? C'est ta réponse ?

Kimber : Tu n'as même pas quitté le canapé quand tu me l'as demandé. Tu ne t'es même pas mis à genoux ……….

Christian : Veux-tu m'épouser ?

Kimber : Tu sais combien de fois j'ai rêvé que tu me demandes ça ?

Christian : Bien. Fixons une date et faisons-le.

Kimber : Ce qui me fait le plus de mal, c'est que... je n'ai même pas entendu les mots "je t'aime".

Scène 12 : Maison de Sean

Sean : Je t'aime, Julia. Et je sais que tu m'aimes.

Julia : Je t'aime. Je t'ai aimé dès le premier jour.

Sean : Alors n'abandonnons pas.

Julia : Non. Nous avons essayé pendant 17 ans. Et nous devons admettre le fait que même si nous nous aimons, il y a une partie fondamentale de ce mariage qui ne fonctionne plus. Alors s'il te plaît, signe ces papiers …………………… Je ne peux pas.

Scène 13 : Appartement de Christian

Kimber : Je ne peux pas, Christian. Je ne veux pas être celle avec qui tu t'installes parce que tu es fatigué et déprimé. Je ne suis pas prête à laisser tomber. Je ne suis pas prête à venir mourir avec toi.

Scène 14 : Maison de Sean

Sean : Je ne laisse pas tomber, Julia.

Julia : Moi si, Sean.

Scène 15 : Poste de police, bureau de Kit McGraw.

Kit : Vous dormiez quand vous avez été attaqué, exact ?

Christian : Oui.

Kit : Il vous a drogué, vous a paralysé.

Christian : Oui.

Kit : Et là, il vous a coupé.

Christian : Vous avez lu le rapport inspecteur McGraw. J'ai déjà fait ma déposition.

Kit : Pas à moi, Dr Troy. J'arrive à peine du Londres de Jack l'Éventreur. Apparemment, le maire de Miami n'apprécie pas tellement la baisse des recettes du tourisme engendrée par un maniaque en liberté Alors, il m'a fait venir pour pêcher... le poisson que les brutes locales ne semblent pas pouvoir attraper.

Christian : Donc votre spécialité, c'est les prédateurs sexuels.

Kit : Ma spécialité, c'est de les attraper. C'est mon affaire maintenant, Dr Troy. J'apprécierais que vous coopériez.

Christian : Je suis plus enclin à la conversation après quelques verres.

Kit : Je ne bois pas.

Christian : J'aime aussi les anciens alcooliques. D'après mon expérience, quand une personne abandonne un vice, elles surcompensent... avec d'autres.

Kit : Et d'après mon expérience, Dr Troy, quand un homme me fait des avances à la con pour m'éviter soit il manque cruellement d'assurance, soit il a une petite bite.

Christian : Je vous assure, Mlle McGraw, que ce n'est ni l'un ni l'autre.

Kit : Que s'est-il passé après qu'il vous ait coupé ? Il vous a violé ?

Christian : Non.

Kit : L'agent sur les lieux dit dans son rapport que vos cheveux étaient mouillés. Vous vous êtes douché... avant l'arrivée de la police ?

Christian : J'ai nettoyé mes blessures. Je suis médecin... vous vous rappelez ?

Kit : Pourquoi être si négligent et égoïste en détruisant des preuves potentielles qui auraient pu épargner à d'autres ce que vous avez subi ?

Christian : Et pourquoi, Mlle McGraw, ai-je l'impression d'être l'agresseur, alors que j'ai été violenté ?

Kit : Violenté pour attaquer ou pour pénétrer ?

Christian : Nous avons terminé ?

Kit : Pour l'instant.

Scène 16 : Salle de repos

Christian : C'est pas exactement l'accueil auquel je m'attendais.

Sean : Peut-être parce que je t'attendais en chirurgie à 8h ce matin.

Christian : J'ai été interrogé par un inspecteur. Désolé.

Sean : T'as besoin de décompresser. Je comprends. Je t'aiderai. Tout ce que tu veux.

Christian : Ne sois pas paternaliste. Écoute, je ne sais pas si je... suis prêt à revenir officiellement. J'ai juste voulu voir l'effet que ça faisait d'abord.

Sean : Tu veux que je te dise l'effet que ça me fait à moi ? Ça devient ingérable maintenant, Christian. J'ai dû reporter 5 rendez-vous à la semaine prochaine, sans compter les heures sup' que je fais déjà. Tu peux être bloqué où tu es, mais pas les affaires. J'ai pensé appeler Quentin Costa, pour voir s'il peut descendre d'Atlanta et nous soulager un peu.

Christian : Je manque une opération et tu veux me remplacer ?

Sean : C'est pas une seule opération.

Christian : Écoute, je ne suis pas prêt à revenir. C'est quoi le problème ?  Tu as dit : "Tout ce que tu veux".

Sean : Je n'ai pas consacré 2 décennies de ma vie à construire une affaire pour devenir un docteur divorcé, coincé sans vie privée, qui travaille 80h par semaine parce que son associé a décidé de ne plus venir. Ça doit changer. Si toi, tu ne le peux pas, les affaires le doivent.

Christian : Divorcé ? C'est arrivé quand ?

Sean : Julia vient de me donner les papiers. Mais tu sais quoi ? Je ne vais pas les signer. Elle m'aime, je l'aime. Je vais lui prouver que ça peut marcher.

Christian : Julia veut avancer dans sa vie. Pourquoi tu ne peux pas toi ?

Sean : On ne parle pas de mon mariage. On parle de mon partenariat avec toi.

Christian : Ça ne concerne que toi ?

Sean : Allez. T'es pas le seul à avoir été attaqué.

Christian : Je n'aurais jamais été attaqué sans toi.

Sean : Tu me reproches ce qui est arrivé ?

Christian : C'est toi qui a fait le boulot gratis sur ses autres victimes. C'est toi qui es coincé, Sean. Tu ne t'es pas occupé de ta vie du tout. De suite, je suis incapable d'évoluer, mais tu ne veux même pas le voir.

Liz : Sean, l'inspecteur Fischman attend sur la ligne un. Il dit que c'est urgent. Bon retour.

Christian : Félicitations, Sean. Une autre victime du Découpeur attend. Et que tu te précipites à la rescousse, c'est exactement ce qu'il veut.

Scène 17 : A l’extérieur d’une maison

Pompier : Envoyez de l'air frais par ici ! Et personne n'entre sans un masque et du menthol.

Inspecteur Fischman : Docteur, merci d'être venu.

Sean : Que se passe-t'il là-dedans ? Vous avez trouvé une autre victime du Découpeur ?

Inspecteur Fischman : Pire. Venez ……….. On a répondu à un appel au 911 à propos d'une crise cardiaque et on a senties l’odeur du bout de la rue ………………………………….

Sean : Pourquoi vous ne l’avez pas envoyer directement a l’hôpital ?

Inspecteur Fischman : C’est ce que l’on a essayé de faire, on a fait venir une ambulance spéciale, mais a chaque fois qu’ont a essayer de la bouger, elle c’est mise a hurler

Sean : Pourquoi moi ?

Inspecteur Fischman : Elle disait que ca lui arrachait la peau, et comme vous êtes un spécialiste, j’ai pensé a vous !  ………… Mme Boone, voici le docteur Sean McNamara, il est venu pour vous aider

Sean : Bonjour Mme Boone

Bonjour, Mme Boone.

Mme Boone : Personne ne vous a jamais dit que vous ressembliez à Damon dans "Haine et Passion" ?

Sean : C'est une bonne chose ?

Mme Boone : Hum, hum

Sean : Alors merci, Mme Boone.

Mme Boone : Appelez-moi Mama. Tout le monde fait ça.

Sean : Comment ça va aujourd'hui, Mama ?

Mme Boone : Je vais bien. J'ai dit à Denis de pas appeler le 911. Il s'inquiétait pour ma respiration, mais je vais très bien. J'ai pas besoin de ça …………. Vous pouvez leur demander d'arrêter de regarder, s'il vous plaît ?

Sean : Pouvez-nous nous laisser un moment en privé ?

Médecin : Allez y !

Sean : Merci …………… Ça fait combien de temps que vous êtes comme ça, Mama ?

Mme Boone : Depuis 2002.

Sean : Ça fait trois ans que vous êtes sur ce divan ?

Mme Boone : C'est ma sciatique. Chaque pas que je faisais me donnait l'impression d'avoir le dos en feu. Le docteur de la Sécurité Sociale m'a dit de m'allonger et que la douleur disparaîtrait jusqu'à ce que je me relève. Alors je suis restée comme ça... J'ai pris le câble pour suivre toutes mes émissions.

Sean : Vous pourriez vous pencher en avant une seconde ?

Mme Boone : Non.

Sean : Vous auriez pu prendre des anti-inflammatoires pour votre dos.

Mme Boone : Je sais que j'aurais pu prendre des choses. Vous n'êtes pas le premier à me le dire. Denis... c'est mon mari... Il a essayé de m'obliger à voir un autre docteur il y a quelques années, mais j'étais devenue très grosse, et vous savez comment les gens vous considèrent quand vous être gros.

Sean : Et pour la nourriture ?

Mme Boone : Denis fait les courses chaque semaine environ. Il encaisse ma pension d'invalidité, et il m'apporte tout ce que je veux. Denis est ma bouée de sauvetage. Il m'a procuré le câble.

Sean : Et pour vos besoins personnels, allé aux toilettes... ?

Mme Boone : Je préférerais éviter le sujet.

Sean : Ça va aller ……. Je vais juste examiner votre peau, ca pourrait faire un peu mal pendant une seconde …………………… Vous êtes super. Encore une seconde, OK ? ……………… Je vais revenir, OK ?

Mme Boone : D’accord

Sean : Il faut la transporter à l'hôpital. Sa peau s'est greffée au divan.

Inspecteur Fischman : Comment c'est possible ?

Sean : Elle est dans ses propres déchets et cet air humide depuis trois ans. Les bactéries peuvent résister pendant des années sur les fibres. Ceci, ajouté à la moisissure de ses fluides corporels et son obésité, a fait qu'elle a littéralement fusionné avec les fibres de ce divan. Seule la compression des nerfs lui permet de supporter la douleur. Nous devons vite la bouger.

Inspecteur Fischman : Quoi ? Après trois ans, tout d'un coup c'est urgent ?

Sean : Cette femme est infectée et souffre d'une grave thrombose vénale. Un des caillots dans ses jambes peut atteindre ses poumons et la tuer. Ses jambes doivent bouger, et le seul moyen c'est de la retirer de ce divan.

Inspecteur Fischman : Comment ? Aucune porte n'est assez large pour la passer avec le divan.

Sean : Alors cassez ce mur ………………………………………………………………….

Mme Boone : Ne me faites pas sortir d'ici.

Pompier : Par ici.

Sean : Ça va aller. Je vais rester ici avec vous. Il faut vous détendre.

Mme Boone : Tous les gens là, dehors, vont me voir... comme ça ?!

Sean : Écoutez, vous avez une bâche ou quelque chose comme ça ?

Pompier : Oui. Je crois que j'ai quelque chose.

Sean : Tout va bien se passer. On va vous trouver quelque chose ………………………… Faut faire vite !

Pompier : Vous êtes prêts les mecs ? ……………………………………………………………

Sean : Allo ?

Liz : Ton lifting fessier de 16 heures est prêt et sur la table, Sean. Ou es tu ?

Sean : Oh, merde. J'ai dû m'absenter pour une urgence hors de la ville. Heu... patientez.

Liz : Je suis face à une patiente très anxieux, et dont le derrière nu dit : "Comment ça va" au plafond, et je dois patienter ?

Mme Boone : Où est le Dr. Sean ?! Où est le Dr. Sean ?!

Sean : Alors bipe Christian. Qu'il commence. Je me précipiterai pour venir finir.

Mme Boone : Je vous en prie, j’ai peur en voiture docteur. Je veux Denis. Denis tient toujours ma main en voiture. Où est Denis ?

Sean : Je vais monter avec vous, Mama... et votre mari nous rejoindra à l'hôpital...

Médecin : Elle est stabilisée. On démarre.

Sean : Ça va aller.

Mme Boone : Merci beaucoup.

Scène 18 : Bureau de Christian

Christian : La circulation. Désolé.

Liz : Tu habite à 10 minutes d'ici. Je t’ai bipé il y a une heure.

Christian : Dis juste a la patiente que je serai là dans une minute.

Liz : La patiente est parti il y a une demi-heure ……………..

Quentin : Dr. Troy. Je, heu... je voulais accepter officiellement.

Christian : Je suis désolé... Accepter quoi ?

Quentin : Un partenariat avec McNamara/Troy. Sean m'a appelé la semaine dernière. Il a dit que les avocats rédigeaient les contrats. C'est... c'est pour vous.

Christian : Écoute, Quentin, je ne sais pas ce que Sean t’a dit, mais je n'ai pas accepté d'embaucher quelqu'un, encore moins un... associé.

Quentin : C'est embarrassant, n'est-ce pas ? J'ai mis ma maison d'Atlanta en vente ce matin.

Christian : Hé bien tu vas devoir la retirer du marché. Désolé.

Quentin : Ca ne doit pas être facile de... te remettre de ce que tu as traversé. Laissez-moi jeter un œil ……… Je viens de te faire un cadeau bébé, tu pourrais me faire ce petit plaisir ! …………. Je peux ? tu devrais t’occuper de ca, Christian, avant qu'une éruption cutanée ne se développe. Je vais te dire. Accepte-moi comme partenaire et je m'occuperai de ça gratuitement.

Christian : tu pense être meilleur chirurgien que Sean ?

Quentin : Je pense pouvoir vous rendre la vie beaucoup plus facile à tous les deux... et apporter un confortable revenu supplémentaire.

Christian : Arrête le forcing, Quentin. C'est entre moi... et Sean ……………… Christian : Ah, dieu merci, tu démissionne. Où est Sean ?

Liz : Au Memorial de Dade.

Christian : Pourquoi ?

Scène 19 : Hôpital

Christian : Qu'est-ce que tu fous ?

Sean : Je pourrais avoir besoin de mains supplémentaires. Liz, la patiente est prête en salle 2.

Liz : OK. J'y vais.

Christian : Je ne vais pas t'aider.

Sean : Alors pourquoi t'es là ?

Christian : Quentin Costa m'a rendu visite il y a une heure. Il prétend que tu lui as proposé un partenariat.

Sean : Il a raison. Notre avocat établit un contrat de 6 mois.

Christian : Sans me consulter ?

Sean : Tu n'as été disponible ni professionnellement ni personnellement.

Christian : On ne prend pas d'associé en plus. Fin de la discussion.

Sean : Tu veux me prouver qu'on n'a pas besoin d'un autre associé... Que tu es revenu dans le jeu ? Alors enfile tes gants ………………………………………………..

Infirmière : Et celui du dessous, s'il vous plaît. Un formulaire de réanimation. Si vous cessez de respirer durant l'intervention, vous auriez besoin d'une assistance respiratoire. Cochez "Oui" si vous voulez cette assistance.

Liz : C'est prêt.

Sean : Nous allons vous faire des injections d'anesthésique local pour endormir la peau sur laquelle nous allons travailler. Vous ne ressentirez aucune douleur quand la drogue aura agi.

Mme Boone : Pourquoi ne pouvez-vous pas m'endormir ?

Liz : À cause... de votre position et de l'infection, on ne peut vous endormir. On ne peut pas insérer de tube respiratoire dans cette position.

Sean : Ne vous ai-je pas conduit jusque-là ? Alors détendez-vous. On prendra bien soin de vous.

Mme Boone : D'accord, mais faites vite. Je n'aime pas les aiguilles.

Sean : T'es prêt ? ……………………………………………

Liz : C'est tout ce qu'on peut lui faire subir pour l'instant.

Christian : On en a encore au moins... 20 à faire.

Liz : Une overdose de xylocaïne peut provoquer une arythmie cardiaque. Dans son état, on a pris des risques avec la moitié de ce qu'on lui a déjà injecté.

Sean : On va devoir travailler sur elle par tranches, alors.

Inspecteur Fischman : Et si vous vous écartiez, hein ? Circulez.

Homme : C'est... ma femme.

Inspecteur Fischman : Je comprends ça...

Sean : Combien de temps l'anesthésie va-t'elle encore agir ?

Liz : Assez pour la moitié d'une clope.

Homme : Vous pouvez pas …..

Inspecteur Fischman : Restez loin de cette fenêtre.

Homme : Bon sang, c'est ma femme, d'accord ?

Sean : D'accord, d'accord, d'accord. Je suis le Dr. Mcnamara. Je vais pratiquer son intervention.

Homme : Je suis Denis Boone. Je veux juste la voir avant que vous ne l'endormiez. Donnez-nous une minute ? M. Boone, vous ne pouvez pas voir votre femme maintenant. Nous devons la maintenir au calme jusqu'à la fin de l'opération. Tout ce qui augmente sa tension pourrait la tuer.

M. Boone : Vous me dites que je ne peux pas voir ma propre femme avant qu'elle ait une intervention qui pourrait la tuer ?

Sean : Je vous dis que votre présence pourrait être plus dangereuse que l'opération.

M. Boone : Foutaises. J'ai des droits maritaux.

Sean : Ces droits étaient de la maintenir enchaînée à ce divan et à la gaver comme une oie ? Vous pouviez aussi verser du gasoil dans sa gorge.

M. Boone : Je lui ai donné ce qu'elle m'a demandé.

Sean : Foutaises. Vous voulez la retenir pour la garder sous contrôle ! Si vous l'aviez aimée, vous l'auriez aidée.

M. Boone : Ne remettez jamais en cause mon amour pour cette femme. Elle ne représente sans doute rien pour vous et tous ces plagistes du Sud, mais pour moi, elle est Uma dans "Kill Bill". Maintenant, allez vous faire foutre. Je rentre ……….. Me fais pas mal, mec.

Sean : Ils pourraient vous arrêter pour négligence criminelle.

M. Boone : Le seul truc dont vous pouvez m'accuser c'est de trop aimer Mama.

Sean : Et vous le montrez en permettant qu'elle soit malade.

M. Boone : Vous croyez que je n'ai pas voulu qu'elle perde du poids ? Essayez de faire faire à quelqu'un quelque chose qu'il ne veut pas faire. C'est comme lui servir un sandwich à la merde. Il peut le manger... Mais il ne reviendra plus ensuite.

Scène 20 : Appartement de Julia

Erica : Qu'est-il arrivé à ta jolie porcelaine ?

Julia : Elle est à la maison.... Heu, je veux dire, chez Sean. Il n'y a pas la place ici.

Erica : Exactement. A moins que d'un compromis décent, tu ne pourras jamais avoir une maison décente pour vivre avec...

Julia : Des mugs en porcelaine ?

Erica : Tes mugs en porcelaine, oui.

Julia : Mère, tu n'avais pas vraiment besoin de faire le voyage pour me soutenir. Je suis grande maintenant.

Erica : Je ne suis pas venue ici pour te tenir la main. Je suis venue te la forcer. Tiens.

Julia : Qu'est-ce que c'est ?

Erica : Un accord préliminaire. Je suis passée chez "Coral's" avant de venir.

Julia : Mon dieu. Coral Langston Stein ? C'est un barracuda.

Erica : Je sais. Elle a des mâchoires de requin, mais c'est la meilleure avocate en divorces de Manhattan. Je lui ai fourni quelques informations.

Julia : Sean ne m'a pas agressée.

Erica : Il t'a jetée contre le frigo et a mis ses mains autour de ta gorge. À moins que ce soit pour un collier ?

Julia : Je venais de lui dire que Matt n'était pas de lui. Il a réagi.

Erica : Sans aucun doute.

Julia : Adultère ?

Erica : C'est vrai, n'est-ce pas ?

Julia : Ohh. Tu n'as pas le droit. Merci mère, mais j'engagerai mon propre avocat.

Erica : Bien. Alors tu devras le payer. Je suis sûre que Sean sera plus qu'heureux de te prêter l'argent pour t'aider à prendre la moitié de son cabinet. Si tu penses qu'avec leur diplôme des cours du soir les filles de l'aide judiciaire peuvent s'en charger...

Julia : Je ne veux pas de la moitié du cabinet de Sean. Ce n'est pas de ça qu'il s'agit.

Erica : Ben, ça devrait. Ça te revient de droit. Tes résultats étaient supérieurs aux siens. Tu étais meilleure que lui à l'école. Pourquoi devrait-il devenir un riche chirurgien pendant que tu vas finir...

Julia : Finir ? Dis-moi, mère.

Erica : Complètement dépendante. C'est ton tour, Julia. Laisse-le financer tes rêves, cette fois. C'est lui qui t'a retenue tout ce temps, t'empêchant d'atteindre ton potentiel. Maintenant il doit payer pour ça.

Scène 21 : Hôpital

Liz : Elle est prête.

Sean : Tout va bien se passer, Mama. On va commencer par cette jambe et si vous sentez quoi que ce soit... Dites-le, d'accord ?

Mme Boone : Pouvez-vous tenir ma main, comme sur le camion ? J'ai peur.

Sean : Je suis désolé. Je ne peux pas. J'ai besoin d'une complète mobilité pour vous sortir de ce divan. Scalpel ? ………. Irrigateur à impulsion ? …………… Fasciite nécrosante ?

Christian : À 4 niveaux de l'os à mon avis. Pratiquez une culture.

Sean : Vous sentez ca Mama ?

Mme Boone : C'est quoi cette fasciite dont vous parlez ? C'est la gangrène ? Vous allez devoir amputer ma jambe ?

Christian : Si l'infection ne peut pas être traitée, oui.

Mme Boone : Mais comment je peux sortir de ce divan si je ne peux même pas marcher ?

Sean : Mama, aimeriez-vous voir votre mari ?

Mme Boone : Denis est là ?

Sean : Il peut entrer et tenir votre main, si ça peut vous aider.

Mme Boone : Non. Je ne veux pas qu'il me voie sans maquillage.

Christian : Vous permettez ?

Mme Boone : Faites doucement, s'il vous plaît.

Christian : Jolie manucure.

Mme Boone : Je l'ai faite moi-même. J'ai dû trouver un moyen de préserver ma fierté, vous savez ? C'était mon rêve pendant un moment, devenir manucure dans un salon fashion. Ma fille disait toujours: "Mama, tu devrais être payée pour ce travail, oui, tu devrais".

Christian : Vous avez une fille ?

Mme Boone : June. Elle venait une fois par semaine, et on parlait... on regardait une émission ou autre. Elle essayait de me laver avec une petite cuvette d'eau et une éponge. Elle me manque. Elle me manque vraiment.

Christian : Ça fait combien de temps que vous ne l'avez pas vue ?

Mme Boone : Environ un an. June a arrêté de venir parce qu'elle était en colère après moi. Elle a dit ne plus supporter de me voir comme ça... qu'elle n'en pouvait plus, de m'offrir son aide et son soutien et de me voir le refuser.

Christian : Pourquoi ne pas avoir essayé de sortir du divan, Mama ?

Mme Boone : Vous savez, je suis une maniaque de la propreté. J'ai toujours tenu ma maison impeccablement. Vous avez essayé Mr Propre, avec sa formule dégraissante ? C'est le must. Parfois je regardais autour de moi et il y avait tellement à faire. Rien que de penser à épousseter et à frotter les murs... Je me sentais épuisée. J'étais tellement fatiguée de penser à tout le travail que j'avais à faire. Alors je me disais : "Demain, Mama. Demain, quand tu auras repris des forces, ça sera jour de ménage. Demain tu te lèveras et tu feras quelque chose."

Christian : Et le lendemain arrivait, et vous... vous sentiez encore épuisée.

Mme Boone : Oui. C'est ça.

Sean : Vous êtes géniale, Mama. Tenez bon.

Mme Boone : Je ne peux plus.

Christian : Si, vous pouvez. On a fait la moitié.

Mme Boone : Et ensuite quoi ? Vous ne devez pas réparer la peau ?

Christian : Quand nous aurons fini l'intervention, on vous donnera quelques jours pour... reprendre des forces, et ensuite oui, nous pratiquerons une greffe.

Sean : Vous avez le degré d'infection de l'échantillon ? …………………….

Mme Boone : J'ai fait tout ce que je pouvais aujourd'hui.

Christian : Liz ? On revient, Mama ……….. Je propose qu'on lui donne une minute. Je vais continuer à lui parler, à la distraire. Ensuite on commencera le travail sur la seconde jambe. On pourra peut-être sauver celle-là.

Sean : Non. Elle perd trop de sang. Regardez sa pression.

Liz : Je peux lui donner de la Dopamine

Sean : Non ! On va envelopper la jambe aujourd'hui, la stabiliser et faire l'autre demain.

Christian : Et on fait le triceps droit vendredi et le gauche dimanche ? Ce n'est pas Julia, Sean. La séparation ne pourra durer toujours ………………………………. Sa peur d'agir est pire que la douleur réelle, Sean. Continuons.

Sean : Liz donnez-moi les palettes. Essayez de charger à 200.

Liz : Elle a indiqué "Pas de réanimation" sur le formulaire ……………………………….

Scène 22 : Enterrement de Mme Boone

Femme : Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun Mal car tu es avec moi tout au long de ma vie. Et j'habiterai dans la maison du Seigneur... pour toujours. Je suis June. Mama était... ma Maman. Je sais ce que la plupart d'entre vous doivent penser, "Quelle fille laisse sa propre mère dans cet état comme elle l'a fait ?" Mais c'est Mama qui m'a fait promettre de partir. Je pense à toi tous les jours, Mama. Tu étais emprisonnée sous le poids de ta propre peur... et rien n'aurait pu te sauver. Tout ce que tu pouvais c'était trouver la force de me libérer. Et c'est ce que tu as fait. Et je t'en remercie. Repose-toi maintenant …………….

M. Boone : Je voulais juste vous remercier pour ce que vous avez fait pour Mama.

Sean : Je suis désolé. J'espérais pouvoir la sauver.

M. Boone : Je voulais dire payer l'enterrement.

Christian : De rien.

M. Boone : La première chose à laquelle j'ai pensé après que Momma soit décédée, c'était, "Comment je vais bien pouvoir trouver l'argent pour la mettre en terre ?" Ils m'ont dit qu'il fallait du métal parce que celle en bois n'aurait pas tenu, et que je devrai payer pour 2 emplacements au cimetière.

Christian : Trois.

M. Boone : Trois ? La vache... Qu'est-ce qu'une personne sans argent est censée faire ? Il faut être riche rien que pour mourir ………………………………………………….

Christian : Engage Quentin. Je ne sais pas si c'est la bonne décision, ou pas mais... au moins c'en est une. En outre, ça facilitera mon retour.

Sean : Je suis fier de toi... pour t'être botté les fesses. Peut-être qu'une jambe à la fois...

Christian : Maintenant c'est ton tour. Toi et Julia méritez un nouveau départ vers le bonheur. Tu dois avancer aussi.

M. Boone : Juste une dernière chose. Vous pensez que je pourrais avoir le divan ?

Christian : Vous voulez vous asseoir sur cette merde ou en souvenir de comment vous avez pris soin d'elle ?

M. Boone : Non... Je le veux parce qu'il était une partie d'elle... et elle était une partie de moi... et je veux le divan. Je veux juste... le divan.

Scène 23 : Appartement de Christian

Kit McGrow : Merci d'avoir finalement accepté de me laisser jeter un œil, Christian.

Christian : Hé, je n'ai rien à cacher. Je suppose que... j'ai changé d'avis. Mais, heu... qu'est-ce qu'on fait ici ? Il m'a agressé dans la chambre.

Kit : L'enquête criminelle est vraiment une étude des gens. Parfois le meilleur moyen de comprendre un agresseur... est de connaître sa victime. Vous pouvez découvrir tout sur une personne en regardant ce qu'il choisit comme environnement.

Christian : Et qu'est-ce que mon  environnement vous dit sur moi ?

Kit : Que vous aimez garder le contrôle. Tout est à sa place. Presque compulsivement. La femme de ménage passe tous les jours. Vous êtes organisé, dur... Anal. La seule chose qui soit douce chez vous, c'est votre lit, lequel j'imagine, est le seul endroit où vous vous permettez d'être vulnérable ce qui rend le fait que l'attaque ait eu lieu ici plus difficile à croire. Parlez-moi de l'attaque.

Christian : Lisez le dossier.

Kit : Les dossiers sont pour les avocats. Des conneries sur les fibres du tapis. Le nombre de pieds de la porte au lit. Tout en noir et blanc. J'ai besoin que vous me donniez la couleur.

Christian : Vous d'abord. Dévoilez-moi vos secrets et je vous dirai les miens.

Kit : Il n'y a rien que je n'aie jamais vu, Christian. Je ne juge pas. Vous pouvez me parler.

Christian : Foutaises. Je veux celui qui vous a fait ce que le Découpeur m'a fait. Vous voulez ma douleur ? Laissez-moi voir la vôtre.

Kit : J'avais 24 ans. Nous étions mariés depuis 6 mois. Son nom était Jason.

Christian : Il vous a blessée ?

Kit : Non... Jason était un homme bon. Il s'est arrêté en rentrant du boulot pour prendre une bouteille de champagne pour notre demi-anniversaire. Quand il est revenu à la voiture, quelqu'un a sorti un flingue. Le type n'avait pas à le tuer. La voiture était un tas de ferraille, une Volvo de 78. Jason lui aurait donné les clés en considérant ça comme une faveur. J'étais à l'école de droit, mais je suis partie et me suis engagée dans les forces de l'ordre, avec une vue sur le vice. Je présume que j'ai pensé que si je travaillais dans l'obscurité, ce qui m'est arrivé semblerait plus lumineux en comparaison. Le vrai coup de pied au cul c'est que j'avais une bouteille de Dom Perignon au frais ce soir-là. Un vrai compte de fée, hein ?

Christian : Je suis vraiment désolé.

Kit : Vous me faites assez confiance pour me montrer votre chambre ? Allongez-vous. Je veux recréer l'agression. Je viens de vous parler de la pire nuit de ma vie. Maintenant, à vous ………………… D'abord il vous a fait une piqûre, vous a paralysé. À partir de là, vous étiez sans défense. Il aurait pu faire ce qu'il voulait. Ensuite vient la coupure, c'est ça ? …………… À en juger par l'angle de la blessure, j'imagine qu'il était au-dessus de vous. En position de force, il aura voulu vous enjamber.

Christian : C'est pas ce qu'il s'est passé...

Kit : Vous étiez paralysé, souvenez-vous. Vous portiez une chemise ? Ça a dû être terrible pour vous. Un homme qui a besoin de dominer, réduit à être le jouet d'un autre. Je ne peux pas imaginer le Découpeur avoir cette opportunité et ne pas en profiter.

Christian : Je présume que je n'étais pas son type.

Kit : Quelque chose me dit que je suis le vôtre, par contre.

Christian : Vous séduisez toutes vos victimes ?

Kit : Seulement celles qui sont aussi sombres que moi …………....

Christian : Et maintenant on fait quoi ?

Kit : On lutte contre la douleur.

Il se déshabille et lui fait l’amour bestialement

Kimber : Je suppose que je suis en avance.

Kit : Peut-être que je devrais partir.

Christian : Non.

Kimber : D'abord tu me demandes de t'épouser. Maintenant tu baises une autre fille. Qui... Qui es-tu ?

Christian : Je suis de nouveau moi, bébé. Je suis de retour.

Il lui propose de se joindre à eux ……….. Ils font l’amour à 3

Scène 24 : Maison de Sean

Sean : Entre. T'es pas un peu en avance ? Annie prépare encore son sac.

Julia : J'espérais qu'on pourrait parler.

Sean : Oh, ce n'est pas vraiment nécessaire, Julia.

Julia : Non, Sean...

Sean : Écoute, Je suis désolé d'avoir été si réticent à signer ça.

Julia : C'est de ça que je voulais parler. J'ai pensé que...

Sean : Pas besoin. Tu avais raison, Julia. C'est moi qui reste dans cette façon de penser et de te voir toi... et nous. Tu as fait le plus dur. Tu as fait face à la réalité.

Julia : Je ne suis plus sûre de savoir ce qu'est la réalité.

Sean : La vérité, Julia, est que tu mérites de prendre ton envol. Tu mérites de vivre la vie dont tu as rêvé. Nous le méritons tous les deux. Et nous avons essayé, encore et encore, et... aucun de nous ne peut rendre l'autre heureux, n'est-ce pas ?

Julia : Non. Es-tu en train de dire que tu es d'accord pour divorcer ?

Sean : Oui. Je les ai signés.

Julia : Merci.

Annie : Salut, m'man.

Julia : Hé ! Salut, chérie.

Sean : Amuse-toi bien avec ta maman. À plus, Jules ……………..

Annie : T'es prête à partir ?

Julia : Non, mon coeur, je ne pense pas.

 

Fin (Ecrit par Sophia81)

Apartment Christian

Agent: Excuse me, sir.

Inspector Fischman: Good. Enter. You're ready for that, doctor?

Sean: Yes.

Inspector Fischman: Let us pause and Gentlemen

Sean: That's him. It is Christian.

Inspector Fischman: Go ahead.

Cemetery, burial of Christian.

Julia: Christian was complicated. But for me it was family.

Kimber: It was so beautiful. And not externally. I wish him to know.

Liz: Christian was the only hetero arrogant enough to think that I can convert. Sometimes I hate this kind. But mostly, I loved him.

Kimber: I loved him.

Julia: I liked him.

Sean: My first memory is of having asked a brother to my mother. I got one at age 18. His name was Christian Troy, and I loved him. Christian had many defects. But he lived it fully. I just want to go to work and see his smile, and say it will be difficult for me to imagine a future without him. I just want. I want to talk to my brother.

Dock on the sea

Christian: And that's where I wake up.

Sean: You've had this dream many times?

Christian: Every two or three nights since the assault.

Sean: And why do you think?

Christian: Do not you understand? I'm stuck. Even in my dreams, my fucking funeral, I can not go forward. I'm in limbo.

Sean: The limbo rather luxurious, Christian. A house on the seafront at 20,000 dollars per month, Kimber who spends every evening with a hot meal.

Christian: I will not return.

Sean: It took me a month before he can take a shower. You know how I overcame it? I went back to work. I started to live.

Christian: I can not rid myself of what happened to me, Sean. I'm not like you. I feel things. He is out there. And it will continue to terrorize the people until they catch it. It keeps us now.

Sean: Do you remember my speech in your nightmare? If you believe in Jung's theories, it is the characters of our dreams. My voice in your dream is a part of you that tries to help them through this ordeal. I wanted to speak in this cemetery, which means you need to talk to me. I am your brother, remember?

Christian: He raped me.

Apartment Julia

Julia: Sean! You're a very bright boy. There was for me? We can fix that.

Jude: Come on.

Julia: What's going on?

Jude: I don't know, maybe take this relationship was not a very good idea.

Julia: Why? I expect nothing from you, it is fun, that's all.

Jude: This is not the problem, Julia. We're the crazy one another for 2 years. It is time to move forward. One learns more about each other.

Julia: Easy. I have been married for 17 years.

Jude: You're still married, Julia. It is time to make a decision. Or is Sean's cock, or it's mine.

Julia: You know I prefer you with your fake English accent. At least, you had looked more polished.

Apartment Christian

Woman on telephone: Dr. Troy, here the Inspector Kit McGraw, vice squad in Miami Dade. You must begin to know my voice. Because it is the fourth message that I leave. You have my number. Call me or you will be assigned.

Operating room

Sean: Blade 15.

Liz: Good God, it's everywhere. Why wait so long? At admission, she says she noticed the silicone out of her nipples for 3 years!

Sean: She must have thought that ignoring the problem is the only way to manage it. A fact. One.

Liz: Sean, it takes too long. It's been five hours she was unconscious.

Sean: I can remove the other implant tomorrow morning.

Liz: The lifting of Ms. Meyer is scheduled for 8 hours. We have already rejected twice.

Sean Christian can take care of Mrs. Meyer.

Liz: If it shows up. It was an operation for two surgeons, Sean.

Sean: He will be there.

Liz: I guess sometimes ignore the problem seems to be the only way to manage.

Christian apartment.

Kimber: It was I who insisted the music. I thought of you when I realized today. Critics were great. Rollins and Shank have assigned four "erect cock" And a soft dick.

Christian: Sorry. This is not your movie, Kimber. I am very impressed. It's just that I'm not available right now.

Kimber: No, indeed. Listen, I sorry for what you have lived, really. And I tried to be patient. But I can not pretend that I do not miss it. You do not miss me. I'm tired of masturbating myself to sleep, I ...

Christian: Marry me.

House Sean

Julia: I want a divorce. It is time, Sean, for both of us.

Sean: Where is the urgency?

Julia We've been separated for almost a year.

Sean: Why do you do? It seems so ...

Apartment Christian

Kimber ... unexpected. This is not what I expected. How can you want to get married while a moment ago you said not to be available?

Christian: Maybe I need to open up. You're there, you were always there. I could always count on you. We should ...

House Sean

Julia: ... to. I do not want to put the rest of my life on hold. I need to move forward. I need to know that I can.

Sean: I thought things were improving.

Julia: The courtesy does not necessarily repair.

Sean: I will not sign it. No!

Apartment Christian

Kimber: No.

Christian: No? It's your response?

Kimber: You have not even left the couch when you've asked me. You did not even put on their knees.

Christian: Would you marry me?

Kimber: You know how many times I dreamed you ask?

Christian: Right. Arrange a date and do it.

Kimber: What makes me the most trouble is ... I have not even heard the words "I love you."

House Sean

Sean: I love you, Julia. And I know you love me.

Julia: I love you. I loved you from day one.

Sean: So do not give up.

Julia: No. We tried for 17 years. And we must admit that even if we love, there is a fundamental part of the marriage that no longer works. So please, sign the papers.

Sean: I can't.

Apartment Christian

Kimber: I can not, Christian. I do not want to be one with which you settle because you're tired and depressed. I'm not ready to drop. I'm not ready to come and die with you.

House Sean

Sean: I don't give up, Julia.

Julia: I do, Sean.

Police Station Desk Kit McGraw.

Kit: You slept when you were attacked, right?

Christian: Yes.

Kit: You drugged, you paralyzed.

Christian: Yes.

Kit: And there you cut.

Christian: You've read the report inspector McGraw. I already made my statement.

Kit: Not to me, Dr. Troy. I can hardly London's Jack the Ripper. Apparently, the mayor of Miami do not really appreciate the drop in tourism revenue generated by a maniac in freedom So he brought me to catch the fish that local bullies do not seem to catch.

Christian: So your specialty is sexual predators.

Kit: My specialty is to catch them. That's my business now, Dr. Troy. I would appreciate if you cooperate.

Christian: I'm more inclined to talk after a few drinks.

Kit: I don't drink.

Christian: I also like alcoholics. In my experience, when someone abandons a vice, they overcompensate with others.

Kit: And in my experience, Dr. Troy, when a man I made advances to the con to avoid me or it is sorely lacking in confidence, or he has a small dick.

Christian: I assure you, Miss McGraw, it is neither one nor the other.

Kit: What happened after you had it cut? You broke?

Christian: No.

Kit: An officer on the scene said in its report that your hair was wet. You have showered before the police arrive?

Christian: I cleaned my wounds. I am a doctor ... remember?

Kit: Why be so careless and selfish by destroying potential evidence that might spare others what you experienced?

Christian: And why, Miss McGraw, "I feel like the aggressor, while I was abused?

Kit: violent attack or penetrate?

Christian: We have completed?

Kit: For now.

Rest room

Christian: It's not exactly the welcome I expected.

Sean: Maybe because I was waiting for surgery at 8am this morning.

Christian: I was interviewed by an inspector. Sorry.

Sean: You're need to decompress. I understand. I'll help. Anything you want.

Christian: Do not be paternalistic. Listen, I don't know if I ... 'm officially ready to return. I just wanted to see what effect it was first.

Sean: You want me to tell you the effect that it makes me me? It now becomes unmanageable, Christian. I had to postpone five appointments until next week, excluding overtime hours that I already do. You can be stuck where you are, but not business. I thought Quentin Costa call to see if he can get to Atlanta and relieve us a bit.

Christian: I lack a transaction and want to replace me?

Sean: It's not a single operation.

Christian: Look, I'm not ready to return. What's the problem? You said: "Whatever you want".

Sean: I have not spent two decades of my life building a case to become a doctor divorced, stuck without privacy, who works 80 hours a week because his partner has decided not to come. That must change. If thou canst not, the business must.

Christian: Divorced? It happened when?

Sean: Julia has just given me the papers. But you know what? I will not sign them. She loves me, I love it. I'm going to prove that it can work.

Christian: Julia wants to move forward in life. Why you can not you?

Sean: We do not talk about my marriage. They talk about my partnership with you.

Christian: It only concerns you?

Sean: Come on. You're not alone in being attacked.

Christian: I would never have been attacked without you.

Sean: You reproach me what happened?

Christian: It was you who did the work gratis on his other victims. It is you who are stuck, Sean. You did not care for your life at all. Now, I am unable to move, but you do not even want to see.

Liz: Sean, Fischman Inspector waiting on line one. He says it's urgent. Welcome back.

Christian: Congratulations, Sean. Another victim of the chopper is waiting. And you'll hurry to the rescue, that's exactly what he wants.

On the outside of a house

Fireman: Send fresh air around here! And no one enters without a mask and menthol.

Inspector Fischman: Doctor, thank you for coming.

Sean: What you it there? You found another victim of the Carver?

Inspector Fischman: Worst. Come on. We responded to a 911 call about a heart attack and we smell the end of the street.

Sean: Why you did not post at the hospital?

Fischman Inspector: That's what we tried to do, we brought in a special ambulance, but each has citizens when they try to move, she put it was screaming

Sean: Why me?

Inspector Fischman: She said that AC would tear the skin, and as you are an expert, I thought you had! Ms. Boone, here's Dr. Sean McNamara, he came to help

Sean: Hello Ms. Boone

Ms. Boone: Nobody ever told you that you look like Damon in "Guiding Light"?

Sean: That's a good thing?

Ms. Boone: Um, um

Sean: So thank you, Ms. Boone.

Ms. Boone: Call me Mama. Everyone does it.

Sean: How are you today, Mama?

Ms. Boone: I'm fine. I told Denis not to call 911. He was worried about my breathing, but I'm fine. I do not need this. You can ask them to stop looking, please?

Sean: Can we leave a private moment?

Doctor: Go ahead!

Sean: Thank you. That is how long you are like that, Mama?

Ms. Boone: Since 2002.

Sean: It's been three years since you're on the couch?

Ms. Boone: This is my sciatica. Each step I took made me feel like the back on fire. Doctor of Social Security told me to lie down and the pain would disappear until I get up. So I stayed like that. I took the cable to keep all my programs.

Sean: You could lean forward for a second?

Ms. Boone: No.

Sean: You could take anti-inflammatories for your back.

Ms. Boone: I know I could take things. You're not the first to tell me. Denis, my husband, he tried to get me to see another doctor a few years ago, but I became very big, and you know how people see you when you're big.

Sean: And the food?

Ms. Boone: Denis goes shopping every week. He collects my disability pension, and he gives me everything I want. Denis is my lifeline. He gave me the cable.

Sean: And for your personal needs the toilet?

Ms. Boone: I'd rather avoid the subject.

Sean: It's going to go. I'll just look at your skin, it might hurt a little for a second. You are great. Even one second, OK? I'll come back, OK?

Ms. Boone: Okay

Sean: It must be transported to the hospital. Her skin was grafted to the couch.

Inspector Fischman: How is that possible?

Sean: She is in her own waste and that moist air for three years. The bacteria can survive for years on the fibers. This, added to the mold of its body fluids and obesity, it was literally fused with the fibers of the couch. Single nerve compression enables it to withstand pain. We must move quickly.

Fischman Inspector: What? After three years, suddenly it's urgent?

Sean: This woman is infected and suffers from severe thrombosis venal. One of the clots in her legs can reach the lungs and kill her. His legs are moving, and the only way is to remove it from the couch.

Fischman Inspector: What? No door is wide enough to pass it with the couch.

Sean: So break that wall.

Ms. Boone: Don't make me out of here.

Fireman: Over here.

Sean: It's going to go. I'll stay here with you. You must relax.

Ms. Boone: Everybody out there, will see me like that?!

Sean: Look, you have a tarp or something like that?

Fireman: Yes. I think I have something.

Sean: "Everything will be alright. We'll find you something. Must act quickly!

Firefighter: You guys ready?

Sean: Hello?

Liz: Your lift buttocks of 16 hours and is ready on the table, Sean. Or are you?

Sean: Oh, shit. I had to leave for an emergency out of town. Er, wait.

Liz: I am facing a very anxious patient, whose bare bottom says: "How are you" from the ceiling, and I have to wait?

Ms. Boone: Where is Dr. Sean?! Where is Dr. Sean?!

Sean: So Christian beeps. It begins. I rushed to come to an end.

Ms. Boone: I beg you, I'm scared by car doctor. I want Denis. Denis is still holding my hand drive. Where's Denis?

Sean: I'll go with you, Mama, and your husband will join us at the hospital.

Doctor: It is stabilized. It starts.

Sean: It's going to go.

Ms. Boone: Thank you very much.

Office of Christian

Christian: Circulation. Sorry.

Liz: You live 10 minutes from here. I've paged there an hour.

Christian: Just say has the patient I'll be there in a minute.

Liz: The patient has been gone half an hour.

Quentin: Dr. Troy. I wanted to formally accept.

Christian: I'm sorry. Accept what?

Quentin: A partnership with McNamara / Troy. Sean called me last week. He said that lawyers were drafting contracts. It is for you.

Christian: Look, Quentin, I do not know what Sean told you, but I have not agreed to hire anyone, let alone a partner.

Quentin: It's embarrassing, is not it? I put my house in Atlanta on sale this morning.

Christian: Well, you'll have to take it off the market. Sorry.

Quentin: It should not be easy for you to recover from what you've been through. Let me take a look. I just make you a baby gift, you could do me this little delight! I can? you should take care of that, Christian, before a rash develops. I'll tell you. Accept me as a partner and I take care of this for free.

Christian: you think that Sean be best surgeon?

Quentin: I think I can make your life much easier for both, and make a comfortable extra income.

Christian: Stop forcing, Quentin. It's between me and Sean. Ah, thank you god, you resign. Where is Sean?

Liz: At Dade Memorial.

Christian: Why?

Hospital

Christian: What are you doing?

Sean: I might need extra hands. Liz, the patient is ready in room 2.

Liz: OK. I go there.

Christian: I'm not going to help you.

Sean: Then why are you here?

Christian: Quentin Costa visited me an hour ago. He claims that thou hast proposed a partnership.

Sean: He's right. Our lawyer draw up a contract for 6 months.

Christian: Without consulting me?

Sean: You have been available or professionally or personally.

Christian: It does not associate more. End of discussion.

Sean: You want to prove we do not need another partner. You're back in the game? So put on your gloves.

Nurse: And the one below, please. A form of resuscitation. If you stop breathing during the procedure, you would need a respirator. Check "Yes" if you want assistance.

Liz: It's ready.

Sean: We will give injections of local anesthetic to numb the skin on which we work. You will not feel any pain when the drug has acted.

Ms. Boone: Why can not you sleep?

Liz: Because of your position and infection, we can not fall asleep. We can not insert a breathing tube in this position.

Sean: Do I not led so far? So relax. We take care of you.

Ms. Boone: Okay, but hurry. I do not like needles.

Sean: You ready?

Liz: That's all we can to make him suffer for now.

Christian: It was at least another 20 to go.

Liz: An overdose of lidocaine can cause cardiac arrhythmia. As it stands, it took risks with half of what he has already injected.

Sean: We will have to work on it in installments, then.

Fischman inspector: And if you stray, eh? Move along.

Man: This is my wife.

Inspector Fischman: I understand that ...

Sean: How long will the anesthesia Is she still acting?

Liz: Enough to half a cigarette.

Man: You can not.

Inspector Fischman: Stay away from this window.

Man: Damn, my wife, okay?

Sean: Okay, okay, okay. I'm Dr. Mcnamara. I will practice his speech.

Man: I'm Denis Boone. I just want to see her before you sleep. Give us a minute? Mr. Boone, you can not see your wife now. We need to keep quiet until the end of the operation. Anything that increases your blood pressure could kill her.

Mr. Boone: You're telling me I can not see my wife before she has an intervention that could kill her?

Sean: I tell you that your presence could be more dangerous than the operation.

Mr. Boone: Bullshit. I have marital rights.

Sean: These duties were to keep it chained to the couch and stuff like a goose? You could also pour some fuel in his throat.

Mr. Boone: I gave her what she asked me.

Sean: Nonsense. You want to remember to keep it under control! If you had loved, you would have helped.

Mr. Boone: Never put in question my love for this woman. It is probably not anything for you and all those sunbathers South, but to me it is Uma in "Kill Bill". Now fuck off. I get home. I'm not bad, dude.

Sean: They could arrest you for criminal negligence.

Mr. Boone: The only thing you can accuse me is too fond of Mama.

Sean: And you show by allowing her to be sick.

Mr. Boone: You think I did not want her to lose weight? Try to make someone do something he does not do. It's like him serve a shit sandwich. He can eat. But it will not come back then.

Apartment Julia

Erica: What happened to your pretty china?

Julia is at home. Er, I mean, at Sean. There is not space here.

Erica: Exactly. With less than a decent, you can never have a decent home to live with.

Julia: Of porcelain mug?

Erica: Your porcelain mugs, yes.

Julia: Mother, you did not really need to make the trip to support me. I'm grown up now.

Erica: I'm not here to hold your hand. I came to you to force it. Want.

Julia: What's this?

Erica: A preliminary agreement. I moved from Coral's "before coming.

Julia: My god. Coral Langston Stein? It is a barracuda.

Erica: I know. She jaws shark, but it's the best divorce lawyer in Manhattan. I gave him some information.

Julia: Sean does not abuse me.

Erica: He threw you against the fridge and put his hands around your throat. Unless it is for a necklace?

Julia: I'd just tell him that Matt was not his. He responded.

Erica: Undoubtedly.

Julia: Adultery?

Erica: That's true, is not it?

Julia: You're not allowed. Thank you mom, but I will hire my own lawyer.

Erica: Okay. Then you'll have to pay. I'm sure Sean will be more than happy to lend you money to help you take half of his cabinet. If you think that with their diploma courses in the evening the girls of legal aid can do it.

Julia: I do not want half of the cabinet of Sean. This is not what it is.

Erica: Well, it should. That you are entitled to. Your results were superior to his. You were better than him at school. Why should he become a wealthy surgeon, while you'll end up.

Julia: Finish? Tell me, mother.

Erica: Totally dependent. It's your turn, Julia. Let him finance your dreams, this time. It was he who kept you all this time kept you from achieving your potential. Now he must pay for it.

Hospital

Liz: She is ready.

Sean: "Everything will be alright, Mama. We will start this leg and if you feel anything. Say, okay?

Ms. Boone: Can you hold my hand as the truck? I'm afraid.

Sean: I'm sorry. I can not. I need a complete mobility to get out of the couch. Scalpel? Pulse irrigator? Necrotizing fasciitis?

Christian: At 4 levels of the bone in my opinion. Practice a culture.

Sean: You feel ac Mama?

Ms. Boone: What is this you speak fasciitis? Is gangrene? You'll have to amputate my leg?

Christian: If infection can not be treated, yes.

Ms. Boone: But how can I leave the couch if I can not even walk?

Sean: Mom, would you see your husband?

Ms. Boone: Denis is there?

Sean: He can enter and take your hand, if it can help.

Ms. Boone: No. I do not want him to see me without makeup.

Christian: Do you mind?

Ms. Boone: Gently, please.

Christian: Nice manicure.

Ms. Boone: I did it myself. I had to find a way to preserve my pride, you know? It was my dream for a moment, become a salon manicure fashion. My daughter always said, "Mama, you should be paid for this work, yes, you should."

Christian: You have a daughter?

Ms. Boone: June. She came once a week and we talked, we watched a show or whatever. She tried to wash myself with a small bowl of water and a sponge. I miss her. I really miss it.

Christian: That's how long you have not seen it?

Ms. Boone: Approximately one year. June stopped coming because she was angry with me. She said not bear to see me like that, it could do more, offer me his help and support and see me refuse it.

Christian: Why not have tried to leave the couch, Mama?

Ms. Boone: You know, I am a neat freak. I always kept my house spotless. You tried Mr. Clean, with its formula degreaser? It is a must. Sometimes I looked around me and there was so much to do. Just thinking about dusting and scrubbing the walls ... I felt exhausted. I was so tired of thinking about all the work I had to do. So I said to myself: "Tomorrow, Mama. Tomorrow, when you have regained strength, it will be day of household. Tomorrow you'll wake up and you will do something."

Christian: And the next day came, and you, you feel exhausted yet.

Ms. Boone: Yes. That's it.

Sean: You're great, Mama. Hold on.

Ms. Boone: I can not.

Christian: If you can. We did the half.

Ms. Boone: And then what? You do not repair the skin?

Christian: When we finish the operation, we will give you a few days to recuperate, and then yes, we will practice a transplant.

Sean: You have the degree of infection of the sample?

Ms. Boone: I did everything I could today.

Christian: Liz? We come back, Mama. I suggest we give him a minute. I'll continue to talk, to distract her. Then we will begin work on the second leg. We may be able to save that one.

Sean: No. It loses too much blood. Look pressure.

Liz: I can give it Dopamine

Sean: No! We'll wrap the leg today, and to stabilize the other tomorrow.

Christian: And we made the right triceps Friday and left Sunday? This is not Julia, Sean. The separation will not last forever. His fear of acting is worse than actual pain, Sean. Continue.

Sean: Liz gives me the paddles. Try to load 200.

Liz: She said "No resuscitation" on the form.

Funeral of Mrs. Boone

Woman: When I walk through the valley of the shadow of death I will fear no evil for thou art with me throughout my life. And I will dwell in the house of the Lord forever. I'm June. Mama was my Mom. I know what most of you are thinking, "What a girl leaves her own mother in this state as it did?" But that Mama made me promise to leave. I think about you every day, Mama. You were trapped under the weight of your own fear, and nothing could save you. All that was you could find the strength to free myself. And that's what you did. And I thank you. Rest now.

Mr. Boone: I just wanted to thank you for what you've done for Mama.

Sean: I'm sorry. I was hoping to save her.

Mr. Boone: I meant to pay the funeral.

Christian: You're welcome.

Mr. Boone: The first thing I thought after that Momma is deceased, was, "How am I going to find the money to put in the ground?" They said it was metal because the wood would not light, and I have to pay for 2 sites in the cemetery.

Christian: Three.

Mr. Boone: Three? Cow. What is a person without money is supposed to do? You have to be rich just to die.

Christian: Calls Quentin. I do not know if it's the right decision or not but at least it is. In addition, it will facilitate my return.

Sean: I'm proud of you, that thou kick ass. Perhaps one leg at a time.

Christian: Now it's your turn. You and Julia deserve a fresh start towards happiness. You have to move too.

Mr. Boone: Just one last thing. You think I could have the couch?

Christian: You want to sit on this shit or remember how you took care of her?

Mr. Boone: No. I want it because it was part of her, and she was a part of me, and I want the couch. I just want the couch.

Apartment Christian

Kit: Thanks for finally agreeing to let me have a look, Christian.

Christian: Hey, I have nothing to hide. I guess I changed my mind. But, uh, what are we doing here? He assaulted me in the room.

Kit: The criminal investigation is really a study of people. Sometimes the best way to understand an abuser is to know his victim. You can discover everything about a person by looking at what he chooses as environment.

Christian: And what my environment tells you about me?

Kit: What do you like to keep control. Everything is in place. Almost compulsively. The maid comes every day. You are organized, hard, Anal. The only thing that is sweet to you is your bed, which I guess is the only place where you allow yourself to be vulnerable this makes the fact that the attack took place here more difficult to believe. Tell me about the attack.

Christian: Read the record.

Kit: The records are for lawyers. Shit on the carpet. The number of feet from the door to the bed. While black and white. I need you to give me color.

Christian: You first. Reveal your secrets to me and I'll tell you mine.

Kit: There is nothing I've ever seen, Christian. I do not judge. You can talk to me.

Christian: Bullshit. I want one that you did what the Carver did to me. You want my pain? Let me see yours.

Kit: I was 24 years. We were married for six months. His name was Jason.

Christian: It has hurt you?

Kit: No, Jason was a good man. He stopped coming home from work to take a bottle of champagne for our half-birthday. When he returned to the car, someone pulled a gun. The type did not kill him. The car was a clunker, a Volvo 78. Jason would have given him the keys by considering it as a favor. I was in law school, but I left and got involved in law enforcement, with a view of the defect. I guess I thought if I worked in the dark, what happened to me seem brighter by comparison. The real kick in the ass because I had a bottle of Dom Perignon in the fridge that night. A true account of a fairy, huh?

Christian: I'm really sorry.

Kit: You make me confident enough to show me your room? Lie down. I want to recreate the attack. I have just about the worst night of my life. Now, please. First he made you a shot, you paralyzed. From there, you were helpless. He could do what he wanted. Then comes the break, right? Judging by the angle of the wound, I guess it was above you. Position of strength, he will want you to step over.

Christian: That's not what happened.

Kit: You were paralyzed, remember. You wore a shirt? It must have been terrible for you. A man who needs to dominate, reduced to be the plaything of another. I can not imagine the cutter have this opportunity and do not enjoy.

Christian: I guess I was not her type.

Kit: Something tells me I'm yours, by cons.

Christian: You seduce all your victims?

Kit: Only those who are as dark as me.

Christian: And now what do we do?

Kit: You fight against pain.

Kimber: I guess I'm ahead.

Kit: Maybe I should go.

Christian: No.

Kimber: First you ask me to marry you. Now you fucking another girl. Who are you?

Christian: I'm me again, baby. I'm back.

House Sean

Sean: Between. You're not a little early? Annie still prepares his bag.

Julia: I was hoping we could talk.

Sean: Oh, it's not really necessary, Julia.

Julia: No, Sean.

Sean: Look, I'm sorry for being so reluctant to sign it.

Julia: That's what I meant. I thought ...

Sean: No need. You were right, Julia. It's me who stays in this way of thinking and you see yourself, and us. You have done the hard part. You have faced the reality.

Julia: I'm not sure about what reality is.

Sean: The truth, Julia, is that you deserve to take your flight. You deserve to live the life you dreamed. We deserve both. And we tried again and again, and none of us can make the other happy, is not it?

Julia: No. Are you saying that you agree to divorce?

Sean: Yes. I signed.

Julia: Thank you.

Annie: Hi, Mom.

Julia: Hey! Hello, dear.

Sean: Have fun with your mom. In addition, Jules.

Annie: You're ready to go?

Julia: No, my heart, I do not think so.

Kikavu ?

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